#le week-end peut enfin commencer
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perduedansmatete · 11 months ago
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2023 merdier sans nom
l'impression de m'être fait rouler dessus, d'avoir été dans un tunnel, j'ai été malade toute l'année, des allergies m'ont pourri la vie quatre mois et mon corps m'a fait si mal mais si mal, j'ai voulu mourir d'avoir si peu de chance et j'ai passé l'année à me dire que je ne tenais plus debout, je suis tombée et tombée par terre je me suis beaucoup fait mal sans faire exprès, peut-être un peu en le faisant exprès, on m'a beaucoup fait mal aussi mais généralement j'ai aimé, sinon j'ai accompli des choses, bosser avec ma bête noire à savoir les enfants et surtout les adolescents non pas une mais deux fois, sous payée la première car service civique, sous payée la deuxième par rapport à ce qu'on me demande car éducation nationale, mais je dois dire que malgré tous les problèmes j'aime plutôt ça, enfin je déteste pas, j'ai repris les études, je ne sais pas trop pourquoi et vers où mais je suis assez fière d'avoir réussi où j'avais échoué l'année dernière à savoir trouver l'énergie pour faire des dossiers, passer des entretiens, les réussir et puis je me sens bien avec les gens de mon master, j'avais très peur de passer les mêmes années qu'en licence mais plus le temps passe plus je crois que je commence à nouer quelques relations dont certaines (une surtout) qui je le pense va être très importante pour moi, si je repense au positif il y a aussi tous les petits les week-end qu'on s'est fait avec mes meilleures amies, pas de vacances ensemble cet été mais ça sera pour l'année prochaine, en parlant d'amies j'ai découvert que je pouvais encore être intensément déçue et blessée par quelqu'un que j'aime depuis toute petite, que ça laisse des traces indélébiles mais d'ici l'été prochain j'imagine que je ne peux que me souhaiter d'aller mieux, d'enfin aller parler à quelqu'un de ce qui m'arrive, ce qui m'est arrivé et de ce qui me bouffe depuis des années, de réussir à entretenir seulement des relations qui me font du bien et qui me rendent heureuse, d'accepter que j'ai le droit d'aller bien, de demander des choses, de poser des limites et qu'on me respecte, puis de ne pas retomber dans des schémas de merde dans lesquels je me mets en danger comme toute cette fin d'année qui ne m'aura pas laissé de répit, pour ça aussi que suis (toujours) si bien à strasbourg, ce n'est pas la vie réelle et c'est très agréable
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sh0esuke · 1 month ago
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" Frustration " FRENCH VERSI0N.
𝗠𝗲𝘁 𝗲𝗻 𝘀𝗰𝗲̀𝗻𝗲 : Joshua Washington.
𝗥𝗲́𝘀𝘂𝗺𝗲́ : Après plusieurs mois passés à étudier, la fratrie Washington peut enfin aller se reposer au Washington Lodge situé à Blackwood Mountain, cette fois, cette escapade étant plutôt minimale, ils n'emportent qu'une seule personne avec eux. Le début du week-end commence et l'invitée semble avoir beaucoup de choses à rattraper avec Josh. Sans parents en vue, loin du centre ville, ils n'ont plus qu'une chose en tête..
𝗔𝘃𝗲𝗿𝘁𝗶𝘀𝘀𝗲𝗺𝗲𝗻𝘁 : contenu sexuel.
ENG : PLEASE DO NOT STEAL MY WORKS. If you want to translate it, ask me first then we can talk about it. If you want to find me on Wattpad, my account is in my bio, this is the ONLY ONE i have. FR : MERCI DE NE PAS VOLER MES OS. Si vous avez envie de les traduire, merci de me demander la permission avant. Si vous voulez me retrouver sur Wattpad, j'ai un lien dans ma bio, c'est mon SEUL compte.
𝙽𝚘𝚖𝚋𝚛𝚎 𝚍𝚎 𝚖𝚘𝚝𝚜 : 𝟑,𝟏𝟐𝟔.
Commentaires, likes et reblogues super appréciés. Tout type de soutien l'est, merci beaucoup !! <33
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« Ferme la fenêtre ! Il fait un froid de canard. »
J'apporte mes mains à mes bras, les frotte vigoureusement en espérant faire disparaître ma chair de poule. Un blizzard fou souffle dehors, les volets claquent et des flocons de neiges parviennent à s'infiltrer dans la chambre, ils s'immiscent et tâchent le parquet. J'ai beau avoir une couverture sur mes épaules et mes jambes emmitouflées sous la couette, je suis morte de froid, mon corps tremble de lui-même. Mes orteils sont frigorifiés. L'hiver a toujours été dangereux ici, dans les montagnes, c'est à ce demander pourquoi la famille de Josh en a fait une tradition. Ce doit être une habitude pour lui, il a presque grandi ici le froid ne doit plus rien lui faire. Mais tant pis pour lui, moi je suis frêle et je n'en peux plus. Je n'attends qu'une chose c'est qu'il ferme cette fichue fenêtre et qu'il me rejoigne.
« Deux secondes, mon cœur, j'essaie de mettre de l'ambiance. Je voudrai pas que les voisins nous épient pendant qu'on se réchauffe. » plaisante-t-il.
« Tu vas rien réchauffer du tout si tu continues. »
« Quoi ? Tu me brises le cœur.. j'ai tout fait pour te ravir, c'est un peu de vent qui va m'empêcher de te câliner ? »
John tourne la poignée. Il me questionne du regard, feignant l'offense.
« Y'a personne à des kilomètres, » je peste. « Dépêche toi ! »
Un sourire fend ses lèvres. Il s'approche du lit, retire sa veste, et grimpe dessus avant de se pencher au dessus de moi. Nos visages se rapprochent. Je m'appuie sur mes coudes de manière à le rejoindre et pose un baiser sur sa bouche. La couverture glisse de mes épaules, elle s'affaisse sur l'oreiller et m'arrache un frisson au passage ⸺ou alors c'est dû à Josh qui glisse sa main sur ma nuque, caressant ma mâchoire de son pouce. Mon bas ventre frétille. Je ferme les yeux et le laisse mener la danse.
Josh m'embrasse.
La journée a été rude, entre la marche à pied en montagne, la mise en place du chalet, Josh, moi, Hannah et Beth avons travaillé dur pour faire de leur maison de vacances un havre de paix. Le reste de l'année elle prend la poussière alors il y avait de quoi faire.
J'ai pensé à ça toute la journée. Moi, lui, enfin seuls dans sa chambre, j'ai rêvassé entre deux coups de plumeau, entre trois batailles de boule de neige, et un déjeuner qui m'a laissée sur ma faim. Alors l'avoir à présent contre moi, ses mains sur mon corps et ses lèvres pressées sur les miennes, c'est une sensation fantastique. Je le veux encore plus près. Je veux entièrement m'abandonner à lui, oublier nos examens à venir, la pression d'un avenir incertain et les attentes inaccessibles de nos parents. Tout s'effondre pendant qu'il fait glisser la couette le long de mes jambes et qu'il se faufile entre elles. Sa main remonte sur mon visage, il me force à lever la tête et plonge sa langue entre mes lèvres. Je frémis. La pulpe de mes doigts palpite, mon cœur s'emballe et je perds la raison. Un feu s'embrase en moi, qui me fait oublier toute sensation de fraîcheur, et qui me donne l'irrésistible envie de me laisser aller.
Josh a les lèvres douces. Elles sont fines et onctueuses. J'ai toujours aimé les toucher, peu importe que ce soit avec les miennes, mon index ou d'autres parties de mon corps. J'aime les sentir se presser sur ma peau. Elles me donnent l'impression de voler. C'est aussi simple que ça; elles me touchent et plus rien n'existe, tout disparaît pour ne laisser que lui et moi.
Mes mains remontent de ses épaules jusqu'à ses cheveux. Ses mèches s'emmêlent, je les caresse. Nos lèvres persistent à se rencontrer tandis qu'il me surplombe et que j'essaie de respirer entre deux baisers. Sa langue frôle aussi la mienne. Je gémis. Les bruits humides de notre échange me rend toute chose. Je n'arrive pas à m'arrêter. Je le sens partout autour de moi, tout ce que mes jambes touchent, mes bras, tout ce que mes oreilles entendent et mes narines sentent, tout ne se résume qu'à lui.
J'ai encore froid mais ses bras qui s'enroulent autour de ma taille et son torse qui écrase ma poitrine m'engloutissent dans une bulle ardente. Je ne sais pas comment c'est possible mais Josh ⸺qui était vautré à la fenêtre quelques minutes plus tôt⸺ me réchauffe. Ses narines soufflent contre moi. Il grogne et baise mes lèvres.
Lorsque j'agrippe son cou et rouvre les yeux, j'entends la porte de la chambre grincer. Josh paraît perplexe se détachant de moi.
« Joshua ? On vous dérange pas ? » dit une voix.
Nous tournons la tête. Sursautons.
« Beth ? Hannah ? »
Josh se sépare de moi, il s'avance sur le bord du lit puis se lève, déglutissant. C'est au même moment que ses sœurs apparaissent dans le cadre de la porte, toutes deux accompagnées d'une couverture et de nourriture. Embarrassée, je rattache une mèche de mes cheveux derrière mon oreille et me racle la gorge, cela ne suffit pas à faire disparaître le nœud dans ma trachée.
« Qu'est-ce que⸺ hum, vous êtes pas parties dormir ? » s'étonne mon copain.
« Il est trop tôt. » affirme Beth.
« On voulait regarder un film. Vous venez ? » propose Hannah.
Assise en tailleurs, je leur fais un signe de la main auquel elles répondent avec enthousiasme. Hannah me sourit.
« On était⸺ » Josh me jette un coup d'œil. « On était un peu occupés. »
« Vous aurez tout le temps de vous rouler des pelles, aller, venez ! On va mettre un film d'horreur et on a trop peur de le regarder seules. »
« Viens nous protéger ! » insiste Hannah.
Josh est convaincu, il ne lui en faut pas plus; je le sais car il n'oserait jamais dire non à ses sœurs, elles lui sont trop précieuses. Mais la manière dont il ne cesse de regarder dans ma direction me fait comprendre qu'il a peur de me décevoir. Il a dû saisir que je n'attendais que ça. Malgré l'affection que je porte à mes deux amies, je ne suis pas venue dans ce coin perdu au beau milieu de nul part pour ne pas profiter de mon copain et des merveilles que du temps passer à deux nous réserve. Toute l'année j'y ai pensé. Avec les études, les révisions et nos parents, c'est à peine si nous avons eu le temps de passer du temps tout les deux. Ce soir c'était l'occasion rêvée.
Malheureusement je crois que je vais devoir me faire une raison.
Mes pieds touchent le sol, je me redresse et m'approche de mon copain. Un peu hors d'ici, il me fixe avec de gros yeux, j'ai du mal à savoir si il est avec nous. Toutefois, au moment où ma main prend la sienne, il nous revient.
« Allons-y, Josh. »
Il fronce les sourcils.
« Tu es sûre ? »
« Mhh. Tes sœurs nous attendent, viens. »
Il bouge sans mal, il me suffit de le tirer un peu pour rejoindre Beth et Hannah. Elles nous ouvrent la porte, gloussant joyeusement, et je leur souris en retour. Elles partent sans nous, se précipitant hors du couloir et dévalant les escaliers en direction du salon. Beth s'exclame, sa sœur rigole. Leur enthousiasme me fait chaud au cœur, je ne me voyais vraiment pas demander à Josh de refuser leur proposition, elles sont beaucoup trop adorables. Et puis je pars du principe que nous ne sommes pas seuls, ça serait idiot de notre part de rester de notre côté le premier soir, voire tout notre séjour ici.
Hannah et Beth l'auraient compris. Elles savent que Josh et moi sortons ensemble ⸺depuis plusieurs années déjà, c'est à peine si je me souviens de celles que j'ai passé sans l'avoir à mes côtés⸺ ça ne les aurait pas dérangées de nous laisser seuls un peu. C'est loin d'être la dernière fois que nous nous éclipsons pour faire l'amour. Néanmoins ce n'est pas le genre de chose que j'apprécie faire; garder leur frère rien que pour moi, ne pas le partager et monopoliser sa soirée. Pas tout en sachant qu'il remuerait ciel et terre pour elles. Je préfère largement leur faire plaisir et attendre un peu, ça n'est pas comme si il allait disparaître du jour au lendemain : nous avons le reste de nos vies pour nous rouler des pelles et nous amuser sous les draps. Je ne dis pas que ça ne m'embête pas, je sais juste reconnaître le bon choix à faire dans une telle situation. Et puis nous allons passer une bonne soirée, dans les deux cas nous sommes gagnants.
Je me colle à mon copain et lève les yeux dans sa direction. Il m'est difficile de l'apercevoir avec toute cette obscurité mais je sens ses doigts serrer les miens et la chaleur de son corps partagée à la mienne. Josh est là, il me le fait savoir.
« Je viens de passer à côté de la meilleure partie de sexe de ma vie. » il peste, ce qui me fait rire.
« La meilleure ? »
« Je te jure j'en avais le pressentiment. Tu m'as vu ? Je nous ai mis dans une ambiance parfaite, ça t'a réchauffée en un clin d'œil. »
« Abruti.. C'était qu'une fenêtre. »
« Ah ha, » il me reprend. « j'ai bien vu comment tu réagissais, tu m'as jamais sorti ça, ça veut tout dire. »
« Quoi, tu crois que tu t'améliores ? »
« Je crois ? J'en suis sûr ! »
Roulant des yeux, je lui tape le torse.
« Tu te sens pousser des ailes surtout, ça fait juste longtemps qu'on a rien fait. »
« Et ? Ça veut pas dire que mon attention au détail n'y est pour rien. Tu serais surprise de voir ce qu'une bonne ambiance peut faire. »
« T'as appris ça dans un porno ? » je demande, rieuse.
« Ha ha, très drôle. »
Josh embrasse ma joue.
« T'es bien la seule nana que j'ai envie de voir jouir. J'ai testé une théorie et elle s'est avérée vraie, c'est tout. »
« C'est tellement gentil je prendrais presque ça pour un compliment. »
Nous arrivons enfin aux escaliers. Tout comme Hannah et Beth précédemment, nous les descendons. D'ici, je vois la lumière de la télévision et entends mes deux amies se disputer à propos du film qu'elles veulent mettre, il y a apparemment deux films d'horreur sur lesquels elles n'arrivent pas à se mettre d'accord.
Josh tire sur ma main. Je m'arrête.
C'est doux, la manière dont il me tire à lui et me presse au cœur de ses bras. Je fonds dans son étreinte. Son corps pressé au mien et ses beau yeux sombres rivés sur ma petite personne. La lumière naturelle qui passe au travers des volets illumine son visage, ce sont des tons bleu, et avec tout ce noir dans le chalet je ne vois qu'une partie de son visage, mais ça me suffit. Je connais les moindres recoins de son être. Physique ou spirituel, je n'ai pas besoin de lumière pour le retrouver. C'est dur d'y croire. Que tout ça est réel, je veux dire. Cet univers est vaste, je suis une personne sur des milliards d'êtres existant déjà, et pourtant j'ai droit à ça. J'ai la chance d'avoir celui que j'aime, d'être aimée en retour et de pouvoir en profiter pleinement, lorsqu'il me touche je m'en rends compte. Je me dis que c'est trop beau pour être vrai. Josh et moi c'est... c'est tout ce dont j'ai toujours rêvé. Et il est là, il me caresse, me cajole et m'embrasse. Ses lèvres touchent ma joue alors qu'il est penché sur moi.
Je ne sais pas pourquoi il nous a arrêté ici, entre les deux escaliers. Il m'a soudain prise dans ses bras et parsème des baisers le long de mon visage.
Ça n'est que lorsqu'il atteint mes lèvres qu'il s'arrête. Il ne va pas ailleurs.
Josh m'embrasse amoureusement.
Nos lèvres se caressent, elles se touchent avec une affection pure et notre salive ne fait qu'une. Tandis que ses mains restent enroulées autour de ma taille, les miennes touchent son visage. Je le tiens. Les yeux clos, je maintiens sa tête dans mon emprise. Ça n'est pas assez pour rassasier ma faim de lui, mais je m'en contente largement.
Lorsque nous nous séparons et que nos fronts se touchent, je glousse malgré moi.
« Quoi ? » m'interroge Josh à bout de souffle.
Je pose mes mains sur son torse.
Embarrassée, je détourne le regard.
« Rien.. Je commence juste à regretter d'avoir dit oui à tes sœurs. »
Mon cœur me fait mal. Il bat trop vite. J'en ai la boule au ventre.
« C'est trop tard maintenant, si on change d'avis je crains que Hannah nous chasse. » plaisante-t-il.
« Tu penses ? »
« Ça serait pas la première fois. Tu te rappelles quand on s'est éclipsés à Halloween ? »
« Ne m'en parles pas ! C'est Sam qui a dû nous sortir de là.. »
Josh rit. Il me caresse le haut du crâne avant de se détacher de moi. Qu'il est beau... J'ai envie de l'embrasser. Je n'ai même plus envie de bouger.
Je suis bien là.
Parfaite.
« Josh, je— »
J'ai envie de lui dire que je l'aime. Cependant je n'ose pas, je me perds dans son regard et la splendeur de son regard m'ôte les mots de la bouche. Je m'accroche à lui. Je perds pieds.
« Tu regrettes totalement d'avoir dit oui. » me taquine-t-il.
J'étouffe. Il fait chaud.
Pourtant mon corps est gelé.
« Tais toi.. » je marmonne.
« Avoue le. »
Son sourire carnassier me rend faible. De la paume de ma main, je frappe son torse et le foudroie du regard. Qu'est-ce qu'il peut m'agacer... Quand il s'y met c'est presque impossible de l'arrêter.
« Tu m'aimes tellement tu peux pas passer cinq secondes sans me sauter dessus. »
« Ah ! Dis celui qui m'as embrassée. De nous deux c'est toi le pire. »
« Moi ? » s'offusque-t-il.
Je tire sur sa main et le force à avancer. Il me déstabilise, je peux même plus le regarder dans les yeux.
« C'est toi qui m'as supplié d'aller dans la chambre pour— aïe ! Me pince pas ! »
« Tais toi alors. » je réplique dans un rictus taquin.
« T'es violente quand t'es sexuellement frustrée ? C'est nouveau ça. »
Josh se rapproche de moi, je sursaute au contact de ses lèvres sur ma nuque. Il murmure ensuite au creux de mon oreille :
« On dirait que je vais devoir y remédier. »
« B—Bouge de là... »
J'essaie de me séparer de lui, c'est sans compter ma main dans la sienne. Elle nous relie. J'ai beau essayer de la reprendre, Josh me devance et s'en saisit. Il entremêle nos doigts et pouffe.
« Je t'ai vexée ? Roh, c'était pour rigoler. »
Nous continuons de nous chamailler même une fois arrivés auprès de Hannah et Beth, assises sur le canapé et fauteuil. Hannah nous salue, elle fait signe à sa sœur qui nous scrute. Je pousse Josh d'un coup de coude et le laisse agoniser en rejoignant les filles.
« Tout va bien ? » s'inquiète Beth.
« Bien sûr, pourquoi ça n'irait pas ! »
Entre deux gémissements de douleur Josh lève son pouce en l'air.
« Nickel-chrome. »
« Tu vois ? Nickel-chrome il a dit. » j'affirme.
Hannah pouffe.
« Vous êtes ingérables. » dit-elle.
« Aller, Joshua, tu fais attendre tes sœurs, on y va, on y va ! »
C'est avec toute la conviction du monde que je me saisis de son poignet et le tire. Josh se tient le ventre de son autre main, là où je l'ai gentiment frappé. Il ne se débat pas. Il me laisse l'installer sur le canapé, je pars ensuite nous prendre une petite couverture, sachant qu'il fait un froid hivernal dans le salon, et reviens auprès de lui afin de me blottir dans ses bras. Je saute presque. Ça n'est pas la nuit dont j'avais rêvé, l'idée de passée trois heures blottie dans les bras de Josh ne me déplaît pas pour autant, même si nous n'allons rien faire de concret. Mon copain me réceptionne, il passe ses bras autour de mon ventre et ne dit rien lorsque je pose la majorité de la couverture sur moi. J'ose même plier mes jambes et poser mes genoux sur ses cuisses.
« Vous êtes installés, c'est bon ? » demande Hannah, la télécommande en main.
« C'est parfait. » murmure Josh, complètement écrasé, mes bras autour de son cou.
« L'idiot.. » dit Beth en roulant des yeux.
Hannah clique sur un bouton et l'écran s'illumine, je retiens mon souffle.
Josh et ses sœurs semblent immédiatement pris par le film, tandis que moi, il faut d'abord que je m'habitue à cette scène. Pas seulement le salon, le chalet, mais les Washington et le simple fait que ce week-end me restera en mémoire pour les années à venir. Personne ne bouge. Je les regarde tour à tour. Lorsque vient celui de mon copain, je ne peux m'empêcher de fondre; mes lèvres se plissent et mon regard s'attendrit. Je caresse l'extrémité de sa mâchoire, le début de sa pilosité et colle ma tête à la sienne : la position est inconfortable, je ne vais pas tarder à gigoter pour m'allonger, mais pour le moment c'est exactement ce que je veux; être proche de Josh, alors ça me suffit.
Du coin de l'œil derrière l'une des fenêtres, j'apperçois quelque chose. Un mouvement.
« Mhh ? »
Je me redresse.
Qu'est-ce que c'était ?
« Mhh ? Quoi ? » s'inquiète Josh.
Il me rapproche de lui, la tête relevée.
« Hein ? »
« Qu'est-ce qu'il y a ? » il chuchote.
Je me rassois.
« Ça devait être mon imagination.. Désolée. » je murmure en retour.
Beth tapote l'accoudoir du canapé.
« Chuut ! »
Josh et moi nous regardons, j'esquisse un sourire amusé. Être grondés de la sorte est plutôt comique. Josh me serre contre lui, il me laisse le temps de bouger afin de me mettre plus à l'aise tout en reportant son attention sur l'écran de la télévision. N'ayant pas d'autre choix je fais de même. Je presse ma tête sur son épaule, enivrée par sa présence et observe la même chose que mes trois amis. De temps à autre Beth et Hannah font circuler leur bol de confiserie ⸺pop-corn au caramel et chips⸺, le film est parsemée de bruits de grignotages, de cris. Et même parfois de baisers. C'est parfait. Tout est parfait.
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a-room-of-my-own · 1 year ago
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Ruben Rabinovitch, psychologue et psychanalyste, a reçu dans son cabinet des jeunes qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (pour braquage, violence, viol…). Il tente de percer à jour, avec les outils de la psychologie, les ressorts de la violence.
Le manteau de destructions et de pillages qui a recouvert la France ces dernières semaines a produit un effet de sidération sur la société et l’a laissée en état de choc. Le choc est un état provoqué par la surprise, mais à combien de reprises peut-on être successivement surpris par le même phénomène ? Le traumatisme actuel réside plutôt dans l’impossibilité de continuer à ignorer ce que l’on savait déjà.
Chacun cherche alors des explications comme naguère les sourciers l’eau souterraine à l’aide de leur baguette : la précarité, le manque d’autorité, le racisme, l’absence des pères, les violences policières, l’échec de l’intégration, le capitalisme, le gauchisme, etc. De bonnes causes bien grasses et bien empaquetées qui doivent permettre de prolonger le déni encore un peu.
DEUX YEUX : UN D’AMOUR ET UN DE HAINE
« Pour voir une chose entièrement, écrivait Nietzsche dans Humain, trop humain, il faut avoir deux yeux : un d’amour et un de haine. » La jouissance de détruire n’a pas de cause, mais des occasions dont elle profite. Les êtres humains sont tous frères, certes. Mais ils ne le sont pas moins par la fraternité que par le fratricide.
Ce que j’ai pu apprendre du fonctionnement psychique de ces meutes ultra-violentes, de leurs caves et de leurs clans, de leur jouissance et sa destructivité, de leur organisation familiale et de leurs fantasmes inconscients, je le dois à ma rencontre avec ces individus eux-mêmes, à leurs enfants, aux mères de leurs enfants, et à certaines de leurs sœurs qui les ont fuis comme elles l’ont pu, quand elles l’ont pu, dès qu’elles l’ont pu.
Durant mes premières années d’exercice, je recevais à mon cabinet de psychanalyste des jeunes gens qui allaient passer en jugement ou qui sortaient de prison (braqueurs, tabasseurs, violeurs). Ils ne venaient pas faire une analyse, ils n’en avaient ni l’envie ni les capacités psychiques. Ils venaient récupérer un courrier tamponné de ma main attestant de leur suivi psychologique exigé par le juge comme preuve de leur bonne volonté à se réinsérer. Contre ce précieux sésame, il leur fallait bien me parler un peu. J’ai également reçu, cette fois à leur propre initiative, des réchappées, exclusivement des femmes. Elles avaient grandi auprès d’eux et malgré eux, s’étaient débrouillées pour obtenir les diplômes qu’elles pouvaient et, dès leurs premiers salaires, avaient cessé d’espérer et quitté les « quartiers » pour pouvoir commencer à vivre.
L'ABSENCE DES PÈRES ?
J’ai reçu enfin, adressés par un généraliste d’Aubervilliers, des enfants, des femmes et des ex-femmes des membres de ces groupes ultra-violents. Le premier petit garçon que j’ai reçu devait avoir sept ans. La mère avait amené son fils parce qu’au retour d’un moment avec son père, l’enfant s’était mis à flamber d’hallucinations plus terribles encore qu’à l’habitude. Il faut dire que le père, parti des années auparavant et qui n’en continuait pas moins à terroriser la mère, avait emmené son fils le week-end précédent chez un imam de cave d’immeuble qui avait pratiqué sur l’enfant un effrayant rituel d’exorcisme. Car au risque de gâcher l’enthousiasme actuel, l’absence des pères dans les « quartiers » est souvent moins délétère que leur présence.
Voici, en vrac, quelques constatations que j’ai pu faire depuis le poste d’observation qui est le mien.
La première chose que je puis dire c’est que penser que la pauvreté engendre la violence est une considération de bourgeois. La bourgeoisie se flatte en supposant chez ceux qui ne bénéficient pas des mêmes conditions matérielles qu’elle une détresse qui pousserait légitimement à tous les crimes. La pauvreté aggrave bien des situations, à n’en pas douter, mais elle n’en est pas à l’origine, jamais. Les enjeux de la violence sont plus complexes, plus profonds, plus inquiétants aussi. Rappelons au passage ce que Baldassare Castiglione, écrivain et diplomate italien de la Renaissance, avait consigné dans son Livre du courtisan : « En pardonnant trop à qui a failli, on fait injustice à qui n’a pas failli. »
VIOLENCE
La seconde chose est que les enfants que j’ai pu voir n’étaient pas nécessairement tous battus mais que tous étaient des enfants qui avaient vu leur mère prendre des coups. La violence envers les femmes est pour ainsi dire consubstantielle à la mentalité de ces meutes ultra-violentes. C’est même une condition d’appartenance et de reconnaissance entre pairs. Précisons tout de même que par violence, on ne désigne pas ici celle des « stéréotypes de genre » mais bien celle des insultes, des menaces et des coups. Des menaces qui en restent rarement au stade de la menace et des coups qui sont parfois mortels.
Les pères ensuite, venons-y donc. Ils ne sont pas si absents qu’on veut bien le dire. Les enjeux sont autres. Les pères n’ont souvent pas souhaité l'être. Ils voulaient des relations sexuelles et refusaient de mettre des préservatifs parce que leur plaisir doit toujours l’emporter sur toute autre conséquence. Il leur arrive certes d’être absents, mais il leur arrive plus souvent encore de faire de leurs enfants les complices de leurs activités illégales. Un certain nombre ne s’identifie pas psychiquement comme des pères pour leur fils mais perversement comme les grands frères caïds de leurs petits frères apprentis caïds. Je me souviens d’un autre petit garçon dont le père avait volé devant lui à d’autres enfants leurs jouets pour les lui offrir. Le petit garçon lui avait répondu interdit : « Mais c’est à mon copain ? » En l’insultant, le père lui avait répondu que ce n’était plus à son copain puisqu’il venait de le lui prendre et avait cassé le jouet devant son fils pour ne pas avoir pris immédiatement part à son association de malfaiteurs.
Le petit garçon avait bien reçu le message : à l’avenir, il aurait le choix entre être le complice ou la victime de son père. Les pères ne désirent pas que leurs fils s’en sortent et dévient du chemin de la brutalité et du gangstérisme qui est le leur. À l’inverse, toute émancipation de leur progéniture serait vécue comme un désaveu personnel et une offense faite au groupe auquel ils appartiennent. Ce n’est pas que « l’ascenseur républicain » soit « en panne » mais que l’école, méprisée et haïe, n’est pas un lieu par lequel leurs enfants pourraient s’émanciper, mais l’enclave insupportable d’un clan rival sur leur territoire : le clan de l’État. L’organisation familiale de ceux dont l’impulsivité n’a aucune barrière est montée psychiquement sur le modèle du clan et non sur celui de la famille nucléaire (papa, maman et les bambins). Ne pas prendre la mesure de la différence entre ces univers mentaux serait jeter la discipline anthropologique et le legs de Maurice Godelier aux ordures.
LE GHETTO ET LE CLAN
Ces meutes ne sont pas composées de communautés rassemblant des individus mais de clans dont les membres forment un même corps, un même organisme. Le clan est travaillé par des fantasmes de fusion. Dès lors, comme l’a lumineusement décrit le psychiatre Maurice Berger, ceux qui en font partie ne sont pas libres de s’éloigner physiquement, géographiquement ou intellectuellement. Toute séparation serait vécue pour le membre comme pour le clan lui-même comme une amputation intolérable et une trahison insupportable. J’ai entendu une patiente raconter comment, dans « sa » cité, un jeune homme avait été laissé pour mort par un gang d’une autre cité parce qu’il entretenait une liaison avec une fille de chez eux, une fille à eux. De cela, il faut bien en déduire qu’il ne s’agit pas de « ghettoïsation », mais de séquestration. Dans un ghetto, on est enfermé de l’extérieur. Dans un clan, on est séquestré de l’intérieur.
Cela permet de rendre un peu plus lisible les phénomènes auxquels nous avons récemment assisté. Tout détruire et nuire aveuglément à ceux qui n’ont pas commis de crime ne peut être considéré comme une faute morale que si chaque individu est tenu pour l’unique responsable de ses actes. Puisqu’il n’y a pas d’individus dans la mentalité de ces meutes, ce qui est fait au membre d’un clan est fait à l’ensemble du clan. Réciproquement, ce qui est fait par le membre d’un autre clan (gang rival d’une autre cité, forces de l’ordre, État) l’autre clan en est tout entier responsable, sans discrimination. La haine de la police est une haine a priori et non une haine a posteriori. Ajoutons à cela que la perte d’un de leurs membres n’est pas vécu sous la modalité du deuil, du chagrin et de la tristesse mais sous la modalité de la haine, de la colère et de la vengeance. Ces clans ne sont pas structurés autour de la culpabilité, mais autour de l’honneur et de l’humiliation.
On dit de ces destructions et de ces pillages qu’ils ne sont pas politiques, parce qu’on n’y voit pas de banderoles peinturlurées de revendications sociales. Ces émeutes sont pourtant éminemment politiques. Les gangs ultra-violents savent très bien ce qu’est la République, son modèle d’organisation sociale, son projet et sa substance. Sans doute même mieux que le camp républicain lui-même, empêtré dans sa tétanie, sa lâcheté et son hébétude. Ils ont d’ailleurs très bien su identifier tous les symboles et les postes avancés de la République puisqu’ils ont brûlé ceux qui se trouvaient sur leur territoire à eux. L’école, le commissariat, le centre des impôts, la mairie, les policiers et la famille du maire : tout cela est ou appartient au clan d’en face qui a tué un des leurs.
Les « solutions », comme on dit, sont aussi simples qu’irreprésentables actuellement. Car ces gangs ne sont pas forts, ils sont seulement ultra-violents. Ils n’ont de puissance que celle qui leur est concédée et de pouvoir de nuisance que celui que la République jouit d’essuyer. Ces gangs ne sont pas la cause mais le symptôme de la désintégration républicaine. Pourtant, le pessimisme est un luxe que nous ne pouvons pas nous offrir. Le philosophe russe Nicolas Berdiaev écrivait dans un article paru en 1936 : « La liberté n’est pas un droit, c’est un devoir. »
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marie-swriting · 2 years ago
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Une Nouvelle Leçon - Robin Buckley
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu ré-emménages à Hawkins après plusieurs années loin de ta meilleur amie et premier bisou, Robin Buckley.
Warnings : fluff, mutual pining, un peu d'homophobie intériorisé, dites-moi si j'en ai loupés d'autres.
Nombre de mots : 3.2k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Kissing Lessons par Lucy Dacus
La respiration haletante, tu frappes à la porte de ton cours d’histoire rapidement. La professeure arrête de faire son cours et t’invite à entrer. Tu ouvres la porte et souris de manière gênée. Sans t’en rendre compte, tu jettes un coup d'œil à la classe, tes yeux se posent sur un visage que tu reconnais en un instant malgré les années : Robin Buckley, ta première meilleure amie. Ta respiration s’accélère, même si tu ne cours plus. Pendant ce temps, la professeur te regarde, attendant ton explication. Tu détaches tes yeux de Robin, te racles légèrement la gorge et prends enfin la parole : 
- Désolée pour le retard, je n’arrivais pas à trouver la salle.
- Y/N Y/L/N, c’est ça ? questionne-t-elle et tu hoche la tête. C’est ton premier jour donc ne t’inquiète pas. Prends place, on vient tout juste de commencer. Par ailleurs, pourrais-tu venir me voir à la fin du cours ? ajoute-t-elle après que tu te sois assise.
Tu tentes de suivre le cours, ne voulant pas avoir encore plus de retard sur le programme. Tu viens tout juste de ré-emménager à Hawkins et l’année scolaire a commencé depuis plusieurs mois alors tu vas devoir travailler énormément durant ses premières semaines à Hawkins High School. Toutefois, tu ne peux t’empêcher de penser à Robin qui est seulement deux chaises derrière toi. Ses cheveux sont plus courts qu’avant et son style vestimentaire est très différent, ce n’est plus les goûts de sa mère, mais les siens. Tu la trouves mignonne, tout comme quand tu étais plus jeune. Tu ignores si tu devrais aller lui parler après les cours. Après tout, vous ne vous êtes pas vues depuis vos sept ans, elle ne t’a sûrement pas reconnue. Si tu allais lui parler, peut-être que tu rendrais la situation embarrassante. Non, c’est mieux que tu fasses comme si tu ne la connaissais pas, sauf si elle venait te parler. Mais tu voudrais tellement lui parler de nouveau. Tes pensées continuent à se bousculer dans ta tête jusqu’à ce que la sonnerie retentit. Tout le monde range ses affaires et fuit la salle alors que tu marches jusqu’au bureau de ta professeure.
- Comment s’est passé ce premier jour ? Pas trop compliqué à suivre en classe ? s’inquiète-t-elle et tu hausses les épaules.
- Dans certaines matières, si, mais les professeurs ont dit qu’ils allaient m’aider si besoin, autrement, j’ai surtout besoin de me repérer dans le lycée, réponds-tu et elle te sourit.
- Tu t’y feras vite, notre lycée n’est pas si grand. Si tu as des questions, n’hésite pas à les poser. Bon, je ne te retiens pas plus longtemps, bon week-end, Y/N.
- A vous également, madame. 
Tu quittes la salle et te diriges vers la sortie. Quand tu passes la porte, Robin vient à ta rencontre, la nervosité se lisant sur son visage alors qu’un grand sourire prend place sur le tien.
- Y/N, hey ! C’est moi, Robin Buckley, se présente-t-elle et tu rigoles légèrement. 
- Je sais, je t’ai reconnue.
- Ah ouais ? Je pensais… enfin j’imaginais que tu…
- Que je t’aurais oublié ? demandes-tu, surprise et elle hoche la tête. Robin, tu es ma première meilleure amie, je ne pourrais jamais t’oublier. Par contre, j’avais peur que ça soit le cas pour toi.
- Jamais j’aurais pu t’oublier également ! rétorque Robin, presque outrée. Je suis tellement contente que tu sois de retour, tu m’as tellement manquée ! Tu es revenue quand ?
- Il y a deux semaines, mais j’ai aidé mes parents à emménager jusqu’à hier. 
- Vous allez rester longtemps ? 
- Pour l’instant, on a pas prévu de repartir, informes-tu et son visage s’illumine. 
- C’est vrai ? 
- Ouais ! Donc, on va pouvoir se revoir comme avant. Il faut qu’on s’organise quelque chose d’ailleurs et tu dois aussi me faire un tour dans Hawkins ! Certaines choses ont bien dû changer dans cette vieille ville, t’exclames-tu, excitée. 
- Pas tellement, mais je te ferai une visite avec plaisir.
- Super. Oh, attends ! commences-tu avant de sortir un bout de papier et un stylo, tu écris rapidement quelque chose avant de continuer : c’est mon numéro, appelle-moi et on pourra choisir un jour pour se voir.
- Bien sûr. 
Tu t’apprêtes à ajouter quelque chose quand vous entendez klaxonner et en tournant la tête, tu vois la voiture de ta mère. 
- Désolée, je dois y aller, ma mère m’attend. 
- T’inquiète, je dois aller travailler également.
- Je suis très contente de t’avoir revue Robin. 
- Moi aussi.
Tu lui fais un dernier sourire avant de courir dans la voiture de ta mère. Pendant ce temps, Robin te regarde, paralysée. Elle n’arrive pas à croire que tu sois de retour. Son cerveau commence à fumer tellement elle pense à tout ce que ton retour représente. Elle n’attend pas plus longtemps avant de partir à Family Video. 
Quand elle arrive à son travail, Steve n’a pas le temps de relever la tête que Robin pose ses mains sur le comptoir, une expression grave sur son visage. 
- On a eu une urgence, Steve.
- Une urgence ? Quelle urgence ? questionne-t-il en regardant les alentours, inquiet.
- Non, une urgence “fille”. Y/N est de retour, déclare-t-elle avec sérieux et Steve fronce les sourcils. 
- Je suis censé savoir qui c’est ?
- Je vais te la faire courte, commence Robin et Steve sait qu’elle ne va pas “la faire courte”, Y/N c’était ma première meilleure amie. On s’est rencontrées en maternelle. On était hyper proches, limite fusionnelles ! Je pense même que nos parents en avaient marre qu’on traîne tout le temps ensemble. Bref, on était vraiment comme les deux doigts de la main, tu vois ? Et un jour, en CE1, Y/N avait le béguin sur ce gamin, Justin. Franchement, je sais toujours pas ce qu’elle lui trouvait, il était un peu bête. Il avait vraiment des réflexions débiles parfois et il était même pas drôle.
- Robin, va droit au but, l’interrompt Steve.
- Le fait est qu’elle avait le béguin sur lui et elle voulait lui avouer ses sentiments, mais elle savait pas comment s’y prendre alors elle m’a demandé de l’aide et étant une bonne meilleure amie, j’ai accepté. On est allées chez moi et on a essayé de jouer la scène, on a essayé d’imaginer ce qu’elle devrait lui dire. Un coup, je disais comment elle devrait faire et elle montrait ce qu’elle pensait faire. Plus on imaginait les scénarios, plus elle avait confiance. Elle était sûre de pouvoir avoir Justin, elle en était tellement sûre qu’elle voulait se préparer pour… le bisou. On avait sept ans alors je lui ai dit qu’on pouvait s'entraîner. C’était un petit bisou de rien du tout, je n’y avais pas pensé plus que ça au début, puis quand elle a commencé à se rapprocher de plus en plus de Justin, j’ai commencé à être super protectrice, surtout qu’on commençait à parler de moins en moins et j’étais convaincue que j’étais en train de perdre ma meilleure amie, mais c’était clairement plus et…
- En gros, t’avais le béguin pour elle ? demande Steve, tentant de comprendre la situation. 
- C’était mon tout premier béguin, mais elle était déjà partie dans un autre État quand j’ai réalisé que peut-être mes sentiments pouvaient être plus profonds que ça et on a perdu contact alors je pensais que ses sentiments de gamines n’étaient rien de plus que ça, des sentiments de gamines, mais Steve quand je l’ai vue entrer dans mon cours d’histoire… Je ne saurais même pas l’expliquer. Elle est si belle et elle ne m’a pas oubliée, contrairement à ce que je pensais ! On a parlé un peu, elle m’a même donné son numéro et Steve, je crois que j’ai toujours des sentiments pour elle, finit Robin, les yeux brillants. 
- Enfin, l'un de nous va être en couple, déclare-t-il avec un sourire.
- On n’en est pas encore là ! 
- T’as dit qu’elle t’avait donné son numéro, je pense que c’est un bon signe.
- Elle veut juste que je lui fasse visiter les nouveaux endroits de la ville et qu’on sorte comme des amies. Ça ne veut rien dire !
- Si tu ne testes pas, tu ne pourras jamais en être sûre, affirme Steve et les yeux de Robin s’ouvrent en grand.
- Tu réalises à quel point c’est risqué ?
- Mais t’as l’excuse parfaite de votre moment en CE1 pour justement tâter le terrain. Faut juste amener l’histoire discrètement, suggère-t-il comme si c’était évident. 
- Tu veux dire la chose que je ne sais pas faire ? 
- Je suis sûr que tu dramatises. Appelle-la pour au moins organiser une sortie, tu aviseras après, continue Steve en prenant le téléphone et le posant devant Robin. 
- Je peux pas, on est au travail.
- C’est vrai qu’on a tellement de clients actuellement, dit ironiquement Steve en montrant les lieux vides de sa main.
- Tu sais que je te déteste, déclare Robin avec un sourire hypocrite. 
- N’oublie pas de me remercier quand tu seras enfin en couple.
- Abruti. 
Robin prend une grande respiration tout en sortant le papier de sa poche de jean. Elle admire le papier avant de saisir le téléphone et de composer le numéro. Intérieurement, elle prie pour que tu ne répondes pas ainsi elle pourra te rappeler chez elle, loin du regard de son meilleur ami. Cependant, tu n’écoutes pas ses prières et décroches au bout de cinq sonneries.
- Allô, Y/N, c’est Robin, commence-t-elle, totalement nerveuse. 
- Robin ? Hey ! Je m’attendais pas à ton appel tout de suite.
- Désolée, je te dérange peut-être ? Je peux te rappeler plus tard, c’est pas grave.
- Non ! cries-tu en devinant qu’elle allait raccrocher. Ce que je voulais dire, c’est que je pensais que tu étais au travail, donc je pensais que tu m'appellerais plus tard ou dans le week-end. 
- J’avais cinq minutes donc je me suis dit que je pourrais te passer un coup de fil pour qu’on se voie ce week-end ou un autre jour la semaine prochaine, si ça t’arrange mieux ou un autre moment, enfin dis-moi quand ça t’arrange, t’as sûrement encore pleins de cartons à déballer, divague Robin alors que Steve la regarde désespéré. 
- Robin, ce week-end, ça me va, affirme-tu avec joie. En fait, je rêve seulement d’un moment loin des cartons. On peut se voir demain ? Et on pourrait se faire une soirée pyjama chez moi, comme au bon vieux temps. 
- Pourquoi pas ! 
- Parfait, je viens te chercher demain ? Je peux prendre la voiture de mes parents donc ça sera plus simple pour sortir.
- Cool, ça m’arrange bien, car je n’ai toujours pas le permis, ça coûte trop cher, ajoute Robin, se maudissant pour cette information inutile. 
- Ça, c’est sûr, rigoles-tu. On se dit à demain, alors ?
- Ouais, à demain, Y/N.
Quand vous raccrochez, un immense sourire est visible sur le visage de Robin. Steve voit qu’elle fait tout pour contenir sa joie et il pense que c’est adorable la façon dont Robin est dans tous ses états à cause de ses sentiments pour toi.
Le reste de son temps à Family Video, Robin ne fait que de parler de votre sortie à Steve. Elle lui partage tous les scénarios possibles. Un coup, elle imagine le moment le plus mignon du monde et un autre elle pense que tu vas la repousser avec violence. Quand elle réfléchit au pire, Steve fait tout pour la rassurer. Il ne peut imaginer à quel point ça peut être compliqué pour elle d’avoir des sentiments pour une fille et de ne pas pouvoir être aussi ouverte sur ces sentiments comme elle le voudrait, alors il l’encourage un maximum, espérant qu’elle ne se stresse pas trop le lendemain et accidentellement sabotager elle-même ce moment avec toi.
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Quand tu récupères Robin chez elle, vous n’attendez pas avant de rouler dans la ville, sans destination précise en tête. Robin te raconte les derniers potins sur la ville et tu l’écoutes avec attention. Vous parlez également des années que vous avez manquées. Les conversations s'enchaînent facilement, comme si vous ne vous étiez jamais perdues de vue. La retrouver auprès de toi te remplit de bonheur, tu apprécies sa compagnie. Tu savais qu’elle te manquait, mais tu n’avais jamais imaginé que c’était à ce point. Plus tu parles avec Robin, plus tes sentiments d’autrefois deviennent de plus en plus forts. A certains moments, tu dois te retenir de parler, sachant que tu te trahirais. Robin est dans la même situation. Elle voudrait “tâter le terrain” comme Steve l’a conseillé, mais elle ne veut pas ruiner votre moment, alors elle évite d’évoquer votre moment de primaire.
Le soir, vous commencez votre soirée pyjama, presque comme quand vous aviez sept ans, la seule différence est que vous ne jouez pas avant de parler. Quand vous étiez plus jeunes, vous jouiez jusqu’à ce que tes parents viennent éteindre les lumières, à ce moment-là vous passiez votre nuit à parler discrètement. Enfin c’est que vous pensiez à l’époque, mais tes parents t’ont avoué plus tard qu’ils savaient que vous ne dormiez pas. Par ailleurs, tu en informes Robin et elle s’esclaffe en l’apprenant. Vous continuez à rigoler pendant plusieurs minutes. Quand vous reprenez enfin vos esprits, tu la regardes avec tendresse et tu souris alors que vous êtes allongées sur ton lit. 
- Ça fait longtemps que je n’avais pas passé une aussi bonne soirée, déclares-tu et Robin fronce les sourcils.
- Tu vas pas me faire croire que notre soirée pyjama rivalise avec tes soirées de lycée.
- Qui te dit que je suis invitée ?
- Y/N, je suis pas bête. T’as forcément plein d’amis dans ton ancien lycée, rétorque-t-elle comme si c’était évident.
- Loin de là ! J’avais deux amis avec qui je n’étais pas vraiment proche et un petit ami avec qui je suis restée tout juste un mois.
- J’ai dû mal à y croire.
- Crois-le ou non, mais c’est compliqué de trouver une aussi bonne meilleure amie que toi. Ou tout simplement une personne en général avec qui j’arrive avoir une connexion aussi forte, informes-tu et Robin essaye de chercher un message caché dans tes mots. 
- Comment ça “une personne en général” et ton petit ami alors ?
- Comme je t’ai dit, ça n’a pas duré. J’ai rompu avec lui avant de partir.
- Tu ne voulais pas faire une relation à distance ? demande-t-elle et tu hausses les épaules, cherchant la meilleure façon pour expliquer la situation.
- Ce n’est pas vraiment ça. J’aurais rompu même si je n’étais pas partie parce que… je ne sais pas comment dire, mais mes sentiments pour lui n’avaient pas l’air si forts que ça et quand je l’embrassais, ça paraissait… bizarre. 
Le cerveau de Robin se fige en entendant tes mots. Elle se demande si elle doit analyser avec plus d’attention ce que tu as dit. Après tout, ça a l’air assez proche de son expérience, mais peut-être que tu n’étais tout simplement pas amoureuse de ce garçon, mais que tu es quand même seulement attirée par les hommes. Robin prend son courage à deux mains et commence à “tâter le terrain” : 
- Faut croire que tu aurais besoin d’une nouvelle leçon de baisers, alors, déclare-t-elle de manière décontractée et tu ne lui réponds pas tout de suite, la faisant paniquer. Désolée, je ne voulais pas rendre la situation embarrassante.
- Tu te rappelles vraiment de ça ? questionnes-tu avec une once d’espoir.
- Ouais. Enfin, c’était par rapport à ton premier amoureux et ton premier bisou donc c’était important pour toi. Je serais une mauvaise meilleure amie si j’oubliais ce genre de détails, tente-t-elle de se justifier, voulant clore la discussion malgré ton desir de continuer la conversation.
- Il était peut-être mon premier “amoureux”, mais on peut pas dire qu’il était mon premier bisou. 
- Tu me considères comme ton premier baiser ? demande Robin, surprise, le cœur battant à mille à l’heure. 
- Nos lèvres se sont touchées, non ? Pour une seconde certes, mais ça s’est passé, affirmes-tu, nerveuse.
- Ouais, mais ça ne représentait rien. Tu voulais te préparer pour Justin, continue-t-elle,  ne voulant pas se faire de faux espoirs. Je sais toujours pas ce que tu lui trouvais, d’ailleurs.
- Moi non plus, rigoles-tu légèrement et elle te suit. Surtout qu’après ce moment, il ne m’intéressait plus tant que ça.
- Mais tu lui as quand même parlé de tes sentiments.
- J’avais sept ans, j’étais perdue. C’était pire quand je l’ai embrassé, ajoutes-tu et Robin est de plus en plus perdue.
- Je ne comprends pas, Y/N. Tu étais complètement “amoureuse” de lui, enfin comme une gamine peut l’être. Tu étais tout le temps collée à lui.
- C’était parce que j’avais peur d’être proche de toi à nouveau, avoues-tu, Robin s’assoit sur ton lit, le visage rougissant.
- Je… Je ne voulais pas t’embarrasser, je voulais seulement t’aider, je suis désolée, s’excuse-t-elle, mal à l’aise et tu te relèves en panique.
- Non, ce n’est pas ce que je voulais dire ! Ce que je voulais dire c’était qu’après ce moment, je… j’étais perdue par rapport à ce que je ressentais pour toi. Tu étais ma meilleure amie et je… je voulais plus. Je ne comprenais pas ce qui m’arrivait, déclares-tu, mais tu abandonnes, pensant que tu n’as fait qu’empirer la situation. Désolée, j’aurais peut-être pas dû te le dire. Je comprendrais si…
- Tu le penses vraiment ? t’interrompt Robin. Tu ressentais quelque chose pour moi ?
- Je… oui et vu que j’ai déjà commencé à creuser ma tombe, autant t’avouer que je ressens encore quelque chose pour toi, continues-tu, mais elle reste silencieuse, te mettant encore plus mal à l’aise. Robin, dis quelque chose, s’il te plaît.
- J’arrive pas à croire que tu ressens la même chose que moi, dit-elle doucement.
- La même chose ?
- Y/N, quand je t’ai vue hier en cours, mon cœur a littéralement loupé un battement, commence Robin en te regardant dans les yeux. Tu as toujours été importante pour moi. J’étais vraiment dans tous mes états quand j’ai réalisé que tu étais de retour. Si tu m’avais vu parlé à Steve, tu m’aurais trouvé pathétique. Je lui ai presque parlé de notre amitié dans tous les détails et je n’ai pas tout dit parce qu’il a demandé à ce que j’aille droit au but, informe-t-elle en parlant de plus en plus vite. Malgré les années, tu as toujours du pouvoir sur moi, ça en est presque flippant, mais oui, j’ai des sentiments pour toi, j’en ai toujours eu. J’étais aussi totalement perdue quand tu étais proche de Justin, je voulais seulement que tu restes proche de moi et je ne comprenais pas pourquoi et là, je réalise que je suis en train de trop parler, mais tout ça pour dire que je tiens tellement à toi, Y/N alors oui, je ressens la même chose pour toi.
- Est-ce que ça veut dire que je peux demander une nouvelle leçon ? questionnes-tu, te sentant confiante de nouveau et en te rapprochant légèrement d’elle.
- J’en ai sûrement besoin d’une aussi. 
- Parfait, on va pouvoir s’entraider.
Délicatement, tu poses ta main sur la joue de Robin et te t’avance vers elle avec un petit sourire alors que Robin tente de cacher sa nervosité. Même si elle n’attendait que ça, elle a peur que tu penses qu’elle embrasse mal ou qu’elle ne sache pas placer ses mains comme il faut. Elle continue à trop réfléchir jusqu’à ce que tes lèvres se posent sur les siennes. A cet instant, toute son anxiété s’évanouit. Elle te rapproche d’elle en posant naturellement ses mains sur ton cou. Tu laisses ton corps agir comme il le souhaite et vous continuez à vous embrasser avec tendresse jusqu’à ce que vous n’ayez plus de souffle. Quand vous vous séparez, vous reprenez votre respiration et vos esprits avant de vous regarder avec un grand sourire. 
- Beaucoup mieux que notre premier, mais je pense que j’ai besoin d’un autre rappel, informes-tu et Robin n’attend pas avant de t’embrasser une seconde fois avec plus de passion.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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nudacystudio · 7 days ago
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Trouvez le Studio Idéal pour Répéter Votre Musique à Paris
La scène musicale parisienne regorge de talents, et pour s’y démarquer, il est essentiel d’avoir un espace adapté pour travailler et perfectionner ses créations. Que vous soyez un musicien solo ou un groupe en quête de perfection, trouver un studio de musique à louer peut transformer votre pratique et votre production. Paris propose une variété d'options adaptées à tous les besoins, y compris des lieux offrant un studio de répétition musique Paris entièrement équipé et conçu pour répondre aux exigences des artistes modernes.
Pourquoi Choisir un Studio de Répétition à Paris ? La capitale française est un centre vibrant pour la musique, attirant des artistes de divers horizons. Opter pour un studio repet Paris offre une opportunité unique de profiter d’un cadre professionnel pour peaufiner vos morceaux. Ces espaces permettent de s’exprimer sans contrainte, loin des bruits et distractions du quotidien.
Un studio de répétition équipé fournit l’environnement sonore idéal pour tester de nouvelles idées, collaborer avec d'autres artistes et expérimenter différents styles musicaux. Grâce à une acoustique optimisée et à des équipements de qualité, ces studios garantissent une expérience productive, qu’il s’agisse de sessions de répétition ou d’enregistrements.
Les Atouts d’un Studio Professionnel Équipé Choisir un studio de musique à louer équipé présente de nombreux avantages. Tout d'abord, ces espaces offrent une acoustique professionnelle, essentielle pour entendre chaque détail de votre musique. Les studios à Paris sont souvent dotés de matériel de pointe, tels que des amplificateurs, des batteries, des claviers, et même des systèmes d’enregistrement. Cela évite aux musiciens de transporter leur propre matériel, leur permettant ainsi de se concentrer pleinement sur leur art.
Un studio de répétition équipé est également conçu pour accueillir des groupes de différentes tailles. Que vous soyez un duo acoustique ou un groupe rock à part entière, ces espaces s’adaptent pour répondre à vos besoins. Certains studios incluent des ingénieurs du son ou des techniciens disponibles pour vous assister, garantissant ainsi des sessions productives et sans souci technique.
Comment Trouver un Studio de Répétition à Paris ? Avec la demande croissante, il n’est pas toujours facile de trouver un studio de répétition musique Paris qui corresponde à vos attentes. L’un des critères les plus importants est l’emplacement. Un studio repet Paris situé dans un quartier central ou accessible en transports en commun est un véritable atout, surtout pour les groupes qui doivent coordonner leurs horaires.
Outre l’emplacement, la qualité des équipements est un facteur déterminant. Il est important de vérifier que le studio est bien entretenu et que le matériel proposé est en bon état. De plus, certains studios offrent des services supplémentaires comme des espaces de détente, des cuisines ou même des options de stockage pour le matériel.
Enfin, pensez à la flexibilité des horaires. De nombreux artistes préfèrent répéter en soirée ou pendant le week-end, il est donc essentiel que le studio soit disponible pendant ces créneaux. Les options de réservation en ligne sont également un avantage, simplifiant le processus et garantissant la disponibilité de l’espace.
Optimiser Votre Expérience en Studio Une fois que vous avez trouvé le studio de musique à louer idéal, il est crucial de maximiser votre temps sur place. Avant de commencer votre session, assurez-vous d’avoir une liste claire des objectifs à atteindre. Que ce soit pour préparer un concert, enregistrer une démo ou simplement répéter, avoir un plan précis vous aide à rester concentré.
Utilisez également le matériel mis à votre disposition. Un studio de répétition équipé regorge d’outils qui peuvent enrichir votre son et votre performance. Prenez le temps de vous familiariser avec les équipements pour en tirer le meilleur parti. Si nécessaire, n’hésitez pas à demander de l’aide au personnel sur place.
Enfin, collaborez avec les autres artistes présents dans le studio. Les studios de répétition musique Paris sont souvent des lieux de rencontre pour des musiciens partageant les mêmes ambitions. Ces interactions peuvent aboutir à des collaborations inattendues ou simplement vous inspirer pour vos projets.
L'Impact d'un Bon Studio sur Votre Musique Un espace bien conçu comme un studio repet Paris peut faire toute la différence dans la manière dont vous développez votre musique. Travailler dans un environnement adapté stimule la créativité et améliore la qualité de vos performances. De plus, les sessions régulières dans un studio professionnel renforcent votre discipline et votre professionnalisme, des qualités essentielles pour réussir dans l’industrie musicale.
En utilisant un studio de musique à louer, vous investissez dans votre avenir artistique. Paris, avec sa riche culture musicale et son large éventail de studios, est l’endroit idéal pour élever votre musique à un niveau supérieur. Que vous soyez un amateur ou un professionnel confirmé, ces espaces vous offrent les outils et l’inspiration nécessaires pour atteindre vos objectifs.
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journhale · 22 days ago
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Lundi 28 octobre : s’adapter
Il est encore minuit, mais la j’ai une excuse, le lundi je finis a 21h, la soirée est donc courte, je rentre a 22h et je me lève a 8h le lendemain.
C’est un mal pour un bien, parce que, comme le vendredi je finis à 15h ça me fait quasiment trois jours de week-end vu que je commence à 14h le lundi. Et vu que les autres jours je fais 10/18 il y a bien un moment où il faut s’adapter.
En semaine, j’ai hâte d’être le week-end pour me reposer et faire ce que je veux, développer des projets, pour avoir du temps de faire les choses mais le week-end j’ai hâte d’être en semaine pour quitter cette solitude qui pèse.
J’aime bien être seul mais aussi longtemps, c’est pas dingue. Je discute beaucoup peut-être par message mais ça suffit pas, il faut du reel.
Je compense par le fait de jouer au PC le soir avec mes potes, ça me fait oublier tout ça, l’histoire de quelques heures mais c’est vrai que la solitude, ça pese, c’est pour ça que j’adore aller au cinéma comme ça, quand je sors après le film, je me sens bien, et j’ai oublié tous ces problèmes pendant quelques heures et ça fait du bien.
J’aimerais vraiment avoir beaucoup plus de temps pour moi mais en même temps si j’en ai trop je vais me sentir trop seul donc il faut trouver un entre-deux.
C’est difficile de faire de nouvelle rencontre, quand la base pour faire de nouvelles rencontres, c’est d’aller dans un bar.
La musique est très forte donc les gens parlent très fort sauf que maintenant il faut que toi aussi tu parles fort et que tu sortes bien l’oreille pour bien comprendre, ça demande beaucoup d’efforts pour un timide.
Il faut aussi beaucoup de courage pour aller seul dans un bar.
Mes semaines se ressemblent toutes. C’est un cauchemar, mais dans le même temps j’ai besoin de stabilité, de point de repère pour me sentir bien mais vu que là mes semaines se ressemblent, ça devient un poids plus qu’autre chose.
La seule bonne nouvelle de cette semaine c’est que dimanche soir je vois LINKIN PARK et ça c’était pas prévu au programme, c’est la meilleure chose qui pouvait m’arriver.
Est-ce que vous aussi le fait d’avoir trop de choses à regarder parfois ça vous étouffe ?
Le soir quand j’ai la possibilité de regarder un film, je perds au moins 10 minutes pour trouver celui que j’ai lancé et quand je regarde toutes mes watchlists, je me dis, comment je vais avoir le temps de regarder tout ça ?
Sachant que j’ai aussi des séries à regarder qui traînent depuis des lustres et que je n’arrive jamais à lancer, c’est pour ça que je suis très sélectif sur les nouvelles séries, et les nouveaux films qui sortent enfin moins sur les films, je suis toujours très ouvert, mais je me limite quand même.
Toute façon, je vais arrêter d’avoir des watchlists sur les plates-formes de vidéos, je vais essayer de regarder tout ce que j’ai dessus actuellement et une fois fini je n’irai plus dessus.
Si c’est sur, Netflix, Disney+ ou Amazon Prime on a la publicité même si on paye donc je vais arrêter de les utiliser parce qu’ils se foutent de notre gueule, je vais revenir au bon vieux téléchargement pas très très égaux que je vais mettre après sur Plex pour ensuite les regarder sur ma télé.
Pour tout vous dire, j’aimerais bien faire comme Léo Duff l’avait présenté dans sa vidéo d’il y a quelques années c’est-à-dire que dès que je mets un film dans mes favoris, ça va chercher un lien pour le trouver, le télécharger pour qu’il soit directement ajouté dans mon Plex, comme ça t’as rien à faire, mais ça demande une certaine organisation en amont.
J’ai toujours cette impression de faire plus pour les autres, par exemple sur Twitter est-ce que le fait d’ajouter la date de naissance des mutuals dans mon calendrier c’est trop ou pas ?
J’ai toujours eu envie de faire plein de projets qui pourraient me plaire et me rendre heureux, mais du fait de ma personnalité, timide et anxieuse, ça me ferme ses portes-là.
J’ai toujours rêvé d’être un Rivenzi ou un Serious Charly pour parler de sport sur Twitch faire des débats, mais surtout discuter de tout ça ou comme Domingo présenter une émission comme Popcorn, faire des mini jeux comme à la fin, parler des sujets qui intéressent, parler d’actualité, faire un podcast, faire de belles photos, de belles vidéos, un beau montage, un montage drôle, avoir un très bon niveau sur quelque chose et pas être médiocre sur beaucoup de choses.
J’ai fait 15 ans de tennis mais j’ai jamais su servir et j’ai toujours été complexée par ça, ça me faisait sentir nul et je faisais beaucoup de mauvais service, de double faute ou de vieux services pourris.
En fait je faisais des services pourris et ça me gênait parce que je trouvais ça honteux. J’avais honte. J’ai jamais été bon quelque part d’une forte manière, j’ai toujours été médiocre, curieux sur plein de choses, mais médiocre partout.
Hier soir j’ai vu le robot sauvage je crois que c’est le meilleur film d’animation que j’ai jamais vu, tout était parfait c’était beau. La musique était dingue et la VF exceptionnelle. J’ai déjà envie de le revoir plein de fois c’est pour ça que j’aime le cinéma, ça adoucit ma vie.
A la prochaine,
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La chronique du mal-être
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Le mal-être, ce doux parfum de nihilisme en solde sur tout le territoire, ce sentiment diffus qui s'infiltre dans les pores comme une crème hydratante trop agressive. Qui aujourd’hui n’a jamais ressenti cette délicieuse mélancolie, ce vertige existentiel qui nous chatouille de bon matin, entre un café trop brûlant et les enfants bruyants et c'est l'angoisse de la journée qui s’annonce ? Le symptôme moderne : L’anxiété périodique Il y a des matins où l’on se réveille avec l’impression que le monde nous a oubliés. Pas dans le sens où il ne nous remarque plus, non. Pire que cela. Dans ce silence lourd, on sent que l’univers a continué sans nous, qu’il tourne, indifférent, alors que nous restons là, immobiles, à contempler une existence qui ne répond plus. La lente érosion de l’âme Le mal-être moderne, ce n’est pas une crise aiguë, une explosion soudaine de douleur. Non, c’est une érosion lente. Jour après jour, une part de nous se dissout, s’évapore dans l’air ambiant, imperceptible aux autres, mais bien réelle pour celui ou celle qui la subit. Ce n'est pas un cri de douleur, c'est un soupir, long, interminable. On ne sait plus vraiment quand tout a commencé, mais on sent bien que c’est là pour rester. Autrefois le mal-être se résumait à l'angoisse existentielle d’un Jean-Paul Sartre qui se demandait pourquoi le monde était aussi absurde alors qu’il avait pourtant une pipe bien remplie et un chapeau élégant. Aujourd'hui, c'est plus complexe, on à l'impression d'être aussi utile à la société qu'un chargeur d'iPhone dans une réunion de Greenpeace. L’angoisse quotidienne c’est un peu comme la tartine brûlée du matin : on la connaît, on sait qu’elle sera là, mais on espère quand même qu'un jour le grille-pain fonctionnera correctement. Spoiler alert : il ne le fera jamais. Bienvenue dans l'ère de l'insatisfaction chronique à la française, on parle souvent de l’absurde, de cette vision existentialiste où tout n’a aucun sens. Mais aujourd’hui, le mal-être, ce n’est même plus l’absurde. C’est le vide. Ce moment, dans le silence de la nuit, où l’on se demande si tout ça valait vraiment la peine, où l'on guette une réponse dans l'obscurité, mais où seul le silence nous répond, cruel et définitif. La routine du vide Chaque jour ressemble à l'autre, avec une précision machinale. Le réveil sonne, on ouvre les yeux, mais pourquoi ? La société moderne nous a promis une vie meilleure, mais tout ce qu’elle nous offre, c’est une course effrénée dans laquelle on ne sait plus vraiment pourquoi on court. Le lundi, on reprend la routine, ce gouffre sans fond. Le mardi, on commence à sentir la lassitude. Le mercredi, on se demande si on arrivera au bout de la semaine. Jeudi, c’est le corps qui parle, qui réclame un répit que l’on sait impossible. Vendredi, enfin, l’espoir d’un répit, mais même ce répit est vidé de sens, car le samedi ressemble au vendredi, et dimanche... dimanche, c’est le jour du bilan. Celui où l’on réalise que rien n’a changé. Que rien ne changera. Peut-être que la vie n’est pas si mal après tout, pense-t-on... jusqu’à ce que l’on consulte le solde bancaire. Ah, la douloureuse réalité du week-end sans le sou, où le seul voyage que l'on puisse s’offrir est une balade introspective entre le canapé et le frigo. Et que dire du week-end, ce bref interlude dans la grande pièce du néant quotidien ? On espère pouvoir s’y ressourcer, y trouver un peu de paix. Mais le samedi passe en un souffle, emporté par des obligations qui n’ont pas plus de sens que celles de la semaine. Le dimanche, quant à lui, est hanté par l’ombre du lundi à venir. On se retrouve seul, face à ce vide intérieur que l’on a tenté de fuir toute la semaine. Et là, dans le silence de la fin du jour, on réalise que l’on ne fait que survivre, et non vivre. Les réseaux sociaux : un pharmakon* digitale Aucune chronique du mal-être moderne ne serait complète sans un clin d'œil à notre cher ami Instagram et Facebook, ces réseaux où tout le monde vit une vie plus belle que la vôtre. Tout le monde y est en vacances, heureux, avec des corps bronzés et des salades parfaitement composées. Vous, en revanche, vous êtes coincé dans votre appartement, à regarder votre reflet dans l'écran noir d'une télé qui vous juge. Le téléphone devient alors à la fois le remède et le poison : une "illusion de connexion" dans une réalité d’isolement qu'il faut que je vous parle ! L’Illusion de la Connexion On nous a promis que les réseaux sociaux nous rapprocheraient. Qu’ils nous aideraient à nous sentir moins seuls. Mais quel cruel mensonge. Tout ce que l’on y trouve, ce sont des vies que l’on ne vivra jamais, des rêves qui ne seront jamais les nôtres. On scrolle, on scrolle encore, espérant trouver une trace de vie, une lueur d’espoir. Mais ce qu’on y trouve, c’est cette profonde solitude, amplifiée par la lumière froide de l’écran. Chaque photo, chaque sourire affiché à l’écran est une preuve supplémentaire de notre propre isolement, de cette distance infranchissable entre nous et le monde. Le burn-out, un sport national Autrefois réservé à une élite de cadres supérieurs, le burn-out est désormais un sport de masse. Il s’immisce dans tous les secteurs : des postiers aux jeunes créateurs de start-up, tout le monde court vers ce saint Graal de l’épuisement professionnel. C’est la nouvelle quête de sens : souffrir pour mieux légitimer son existence. Le bonheur ? Une chimère pour les naïfs. La vraie gloire, c’est de pouvoir dire "je suis à bout", et recevoir une vague d’approbation virtuelle de ses pairs. Mais rassurons-nous, car nous avons trouvé des solutions. Les applications de méditation, par exemple, qui vous promettent la paix intérieure en échange de quelques euros par mois. Là où la psychanalyse prenait des années, la pleine conscience prend 10 minutes. Le capitalisme a optimisé l’angoisse et la réponse à celle-ci : soyez stressé, puis payez pour ne plus l’être... jusqu’au mois suivant. Le burn-out, ce n’est pas juste de la fatigue. C’est ce moment où l’on réalise que tout ce pour quoi on s’est battu n’a plus aucun sens. Que les sacrifices faits pour arriver là où nous sommes n’étaient que des illusions, des promesses vides. On pensait qu’il y aurait une récompense, une lumière au bout du tunnel. Mais le tunnel est sans fin, et la lumière, elle, est une hallucination. Une fuite sans espoir ? La vérité, c’est qu’on aime notre mal-être. Il est devenu une sorte de badge d'honneur, un signe que nous avons compris la farce cosmique. Il ne s'agit plus de chercher un sens à la vie, mais de savoir comment survivre dans ce grand bazar. Et tant qu’on peut partager ses lamentations sur Twitter, avec un petit mème ironique à la clé, on se dit que ça vaut peut-être la peine de continuer encore un peu. Alors, souriez ! La vie est absurde, oui, mais elle est à nous. Et si le poids du monde devient trop lourd, il reste toujours les soldes sur les applications de thérapie en ligne. Parce qu’au final, le mal-être est peut-être notre seule véritable réussite collective ... à la française. Le mal-être, c’est cette fatigue sans fin, ce poids sur nos épaules que l’on ne peut plus porter. C’est cette impression d’être piégé, sans échappatoire, condamné à revivre les mêmes jours, encore et encore, sans possibilité de s’en extraire. Les petits plaisirs de la vie, autrefois lumineux, ne sont plus que des souvenirs lointains, des ombres que l’on tente en vain de retrouver. Les thérapies, les médications, les solutions numériques... Tout cela ne fait que repousser l’inévitable. Car au fond, ce n’est pas le stress, ni l’anxiété que l’on combat. C’est ce vide intérieur, cette absence de sens qui nous étreint lentement, jour après jour, jusqu’à ce qu’il ne reste plus rien, si ce n’est une question sans réponse. Je voudrai finir par une conclusion qui n’en est pas une ! Il n’y a pas de fin à cette chronique, pas de message d’espoir, pas de lueur au bout du tunnel. Le mal-être n’est pas une phase, ce n’est pas quelque chose que l’on peut surmonter avec une citation inspirante ou une séance de méditation. Il est là, enraciné, dans nos vies, dans notre quotidien. Il est devenu la toile de fond de nos existences modernes, et nous n’avons d’autre choix que de l’accepter. Peut-être qu’au fond, le seul réconfort, c’est de savoir que nous ne sommes pas seuls dans cette solitude partagée. Que d’autres ressentent, eux aussi, cette absence de sens, cette profonde tristesse. David SCHMIDT *En Grèce ancienne, le terme de pharmakon désigne à la fois le remède, le poison, et le bouc-émissaire. Read the full article
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tournesolaire · 11 months ago
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YES ENFIN DES SOUS QUI RENTRENT
Y'a enfin un peu d'argent qui arrive entre les sous de Noël et les intérêts de la banque
J'espère aussi que je vais avoir des réponses pour les CVs que j'ai déposés, ça serait vraiment bien que je puisse travailler même si c'est juste un 10 ou 12h par semaine
En ce moment l'argent ça nous rend vraiment anxieux avec mon amoureux parce que les 2 derniers mois ont vraiment été très compliqués. D'ailleurs il a eu son rdv tout à l'heure et du coup c'est officiel il a pris un deuxième travail
Il commence dès vendredi là, ça serait pour les nuits le week-end (23h-6h)
C'est chouette parce qu'au moins il va y avoir un complément (un bon complément normalement, surtout s'il est payé chaque weekend comme c'est prévu et pas à la fin du mois), mais ça m'inquiète
Ça m'inquiète vraiment pour lui parce qu'il travaille déjà beaucoup au Panim, et j'ai peur qu'il s'épuise vraiment
Et puis on va plus beaucoup se voir
J'essaie de me rassurer en me disant que c'est provisoire, juste le temps que le Panim décolle vraiment bien, que la saison reprenne et donc que les pourboires reviennent (donc d'ici fin février/début mars ça devrait être bon)
Enfin bon
La situation financière s'arrange petit à petit et ça me rassure
On va enfin pouvoir vraiment manger, plus seulement grignoter des restes 1 fois par jour (quand on peut manger). On va enfin pouvoir faire des courses normalement et plus avoir à espérer et croiser les doigts pour qu'il fasse des pourboires pour acheter des choses aussi basiques que du papier toilette.
On va enfin pouvoir être plus sereins
Plus sereins et plus confortables dans la vie
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pdj-france · 1 year ago
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Fabrizio Romano a annoncé l'arrivée prévue de Yann Sommer en Italie, le gardien de 34 ans étant susceptible de quitter son club actuel du Bayern Munich. Un accord pour Sommer coûtera à son nouveau club potentiel, l'Inter Milan, entre 5 et 6 millions de livres sterling. Des tests médicaux, d'après Romano, ont lieu lundi. Si l'Inter peut finaliser cet accord, ils auront enfin leur remplaçant pour Andre Onana. Sommer échange un prétendant à la Ligue des champions contre un autre Yann Sommer à l'Inter, c'est parti ! Accord en place pour un montant total de 6 millions d'euros - médical lundi, il arrivera en Italie dimanche pour terminer son déménagement 🚨⚫️🔵 #Inter L'Inter a le remplaçant qu'il souhaitait pour André Onana. pic.twitter.com/Ruip4OxRU5 – Fabrizio Romano (@FabrizioRomano) 4 août 2023 L'affaire n'est pas encore conclue Malgré l'utilisation de son célèbre slogan, "On y va", Romano a souligné que l'accord n'était qu'en place. Sommer n'est pas encore un joueur de l'Inter. Cela dit, le transfert semble susceptible d'être terminé bientôt. Actuellement, cela dit, il est possible que les deux parties ne parviennent pas à un accord. PDJ : « Midnight Tonight » : un journaliste révèle une mise à jour d'ampleur sur Tottenham avec un transfert désormais en danger Huit ans en Suisse avec le FC Bâle, puis dix avec le Borussia Mönchengladbach en Bundesliga, ont emmené le Suisse à Munich pour un bref passage. Désormais, tandis que le sommet de sa carrière commence à s'estomper, et toujours à la poursuite d'un trophée européen majeur, il rejoint une équipe qui cherche à revenir à la finale de l'UCL. Ce que Sommer apporterait à l'Inter si l'accord était conclu Les alliés du club italien souhaitent que l'accord soit conclu ce week-end. Sommer serait une signature extraordinaire pour l'Inter alors qu'ils se préparent à reproduire la marche de la saison dernière vers la finale européenne. Ses services laisseraient aussi au club milanais le temps de trouver un autre gardien de long terme alors qu'il se tient entre les bâtons. PDJ: "Fait, scellé": Fabrizio Romano publie une mise à jour d'ampleur tandis que Man Utd termine la poursuite de l'étoile "parfaite" Habitué à être signé en qualité de remplaçant ou remplaçant d'un gardien de renom, Sommer rejoindrait cette équipe de l'Inter non seulement à la suite du départ d'Onana, mais aussi en qualité de légende du club et gardien numéro un de longue date Samir Handanovic prend sa retraite. Crédit image principale : Ank Kumar sur Flickr, CC BY-NC-ND 2.0
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patern29 · 2 years ago
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Comment organiser et ranger l'intérieur de son voilier?
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Un voilier bien rangé et organisé est non seulement indispensable pour la vie à bord, mais est aussi un gage de sécurité. Organiser et ranger le carré et les cabines permet de vivre plus sereinement en croisière, même côtière, mais aussi de retrouver le matériel d'urgence en cas de besoin. Voici un petit guide, issu de mon expérience de plaisancier côtier qui en matière de rangement, en fait bien plus qu'à la maison. Lorsque l'on possède un voilier, il est donc indispensable d'optimiser l'espace à bord, surtout sur des petits voiliers de, on va dire, moins de 9 ou 10 mètres. En effet, que ce soit pour des raisons de confort, de sécurité ou d'efficacité, un intérieur bien organisé vous permettra de profiter pleinement de vos sorties en mer, le temps d'un week-end comme d'une croisière estivale. Nous allons donc reprendre les différents espaces de vie pour voir comment optimiser chacun, avec des petites astuces, afin de gagner de l'espace et d'optimiser le confort à bord du bateau.
Définir les zones de rangement
Pour commencer, déterminons les différentes zones de rangement à bord de notre bateau. Chaque zone doit être clairement identifiée et utilisée pour un type spécifique d'équipement ou de matériel : - La cuisine : cette zone doit contenir tout le nécessaire pour préparer et conserver la nourriture, ainsi que les ustensiles de cuisine. Rien d'autres - Le carré : c'est l'espace central du voilier où l'on se détend, on mange et on socialise. Il doit être confortable et fonctionnel. Les rangements sont constitués des équipets des coffres des banquettes. - Les cabines : elles doivent offrir un espace de rangement suffisant pour les vêtements et les effets personnels de chacun. Les coffres, sous les banquettes, sont les plus compliqués à optimiser. - La salle de bain : elle doit contenir tous les produits d'hygiène et de toilette, ainsi que les serviettes et le linge de bain. Elle pourra, éventuellement, recevoir les cirés, humides. - Les coffres techniques : ils doivent être réservés au matériel de navigation, aux outils et au matériel de sécurité. Je parle des coffres de cockpit ( retrouvez l'article sur l'organisation du cockpit ici), mais pas que. Je pense à la table à carte, la couchette cercueil, éventuellement, voire la cabine arrière.
Astuces pour optimiser le rangement dans la cuisine
La cuisine d'un voilier est généralement petite et exiguë. Il est donc essentiel de bien organiser les espaces de rangement pour pouvoir cuisiner facilement et rapidement, mais toujours simplement ( enfin presque). Voici quelques astuces : - Utilisez des boîtes hermétiques pour conserver les aliments secs (pâtes, riz, farine...) et éviter l'humidité. je n'ai que cela. En plus, cela réduit les déchets. - Privilégiez les ustensiles multifonctions, comme une cuillère à soupe qui peut également servir de louche ou un couteau polyvalent. On en trouve dans les magasins de camping. - Optez pour des plats et bols pliables, ou empilables afin de gagner de la place dans les placards. De mon côté, j'utilise des récipients en plastique souple qui se replient. - Accrochez vos casseroles et poêles à l'aide de crochets pour libérer de l'espace dans les tiroirs. Si vous trouvez un lot encastrable; les uns dans les autres, c'est top. Pour le reste, c'est surtout une question d'organisation. Non, vous n'aurez jamais 10 personnes à bord. Alors n'emmenez pas des couverts pour 10.
Optimiser l'aménagement du carré
Le carré est un espace central du voilier où il est important de se sentir bien. Pour cela, voici quelques conseils pour optimiser son aménagement : - Installez des étagères, ou filets et des compartiments de rangement pour ranger les livres, les jeux et autres objets personnels. - Choisissez des coussins et des couvertures adaptés au milieu marin, c'est-à-dire résistants à l'humidité et faciles à nettoyer. De mon côté, je me suis mis en mode camping, cette année. - Pensez à ajouter des porte-gobelets pour éviter les renversements de boissons lors des navigations mouvementées. - Mettez en place un système de fixation pour les objets qui peuvent se déplacer pendant la navigation, comme les téléphones portables, les lunettes de soleil ou les appareils électroniques. Il existe des rangements pratiques. Sinon, le velcro est très pratique. - Pensez à équilibrer les poids, dans le carré. Si votre vache à eau est sur tribord, pensez à mettre les choses lourdes, dans les coffres bâbord. Chaque coffre doit être réservé à une thématique ( conserves, équipement de navigation, nettoyage,...
Astuces pour organiser les cabines
Les cabines d'un voilier doivent offrir un espace de rangement suffisant pour permettre à chaque membre de l'équipage de ranger ses affaires personnelles. Voici quelques astuces : - Utilisez des sacs de rangement suspendus pour gagner de la place dans les placards et tiroirs; - Optez pour des housses de matelas et de couette spécialement conçues pour le milieu marin, afin de protéger votre literie de l'humidité. Là encore, je me suis mis en mode camping. - Installez des patères et des crochets pour accrocher les vêtements et les serviettes. - Mettez en place des compartiments de rangement sous les couchettes pour stocker les vêtements et les effets personnels que vous utilisez le moins. ( Plus vous vous en servez, moins vous devez soulever les banquettes). - Si vous naviguez avec des enfants, dédiez leur une cabine, ou ils pourront faire ce qu'ils veulent, sans s'entendre dire " ne touche pas à ci, ne touches pas à cela..."
Gérer les espaces de rangement dans la salle de bain
La salle de bain d'un voilier doit être fonctionnelle et bien organisée. Pour cela, suivez ces conseils : - Utilisez des sacs étanches pour ranger vos produits d'hygiène et de toilette. - Mettez en place un système de fixation pour les objets qui peuvent se déplacer pendant la navigation, comme les brosses à dents ou les rasoirs. - Privilégiez les accessoires spécialement conçus pour le camping ou les camping-cars, comme les miroirs anti-buée ou les tapis antidérapants.
Rangement du matériel technique et de sécurité
Enfin, il est primordial de bien organiser le rangement du matériel technique et de sécurité à bord de votre voilier. Voici quelques conseils : - La table à cartes est le domaine de la navigation, voire du bricolage et RIEN D'AUTRES. - Dédiez un coffre spécifique au matériel de navigation (cartes, compas, GPS...); - Rangez les gilets de sauvetage et les harnais dans un endroit facilement accessible en cas d'urgence; - Conservez les outils et les pièces de rechange dans une boîte à outils étanche et bien organisée; - Assurez-vous que les extincteurs et les détecteurs de fumée sont en bon état de fonctionnement et facilement accessibles. En suivant ces conseils et astuces, vous pourrez facilement organiser et ranger l'intérieur de votre voilier, optimisant ainsi l'espace, la sécurité et l'organisation à bord. Profitez pleinement de vos sorties en mer dans les meilleures conditions possibles ! Read the full article
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cedricfaitsontourdupilat · 2 years ago
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CYCLO SUD BOURGOGNE
A Viré, le 23 avril 2023
       Rendez-vous en sud Bourgogne ce week-end pour la 1ere manche du challenge cyclo Tour Rotor avec cette cyclo Sud Bourgogne. Le samedi a ouvert les hostilités avec des parcours rando et une épreuve gravel. Le dimanche est le jour des épreuves route avec 2 parcours chrono dont les 135km et 2200m D+ du Tournugeois auquel je prendrais part comme pas loin de 400 coureurs inscrits rien que sur ce parcours ! Côté météo on profitera du meilleur créneau du week-end puisqu’il n’y a pas de pluie d’annoncée de 8 h au début d’après midi avec même quelques éclaircies, du vent et des températures un peu justes pour la saison.
     Contrairement à la Corima, pas de cafouillage aux dossards avec LVO et je me trouve en première ligne aux côtés de Damien Richard avec qui je patiente dans l’attente du départ. J’ai pu noter la présence de quelques autres camarades habituels tel Alexandre Banegas, Thimothé Delavaud, Remi Mejean ou Thomas Becarud ainsi qu’une grosse armada belge (dont un champion du monde cyclo) et même un pro de chez St-Michel Auber 93 en la personne de Nicolas Debeaumarché !
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            8h45 c’est parti et il ne faut pas s’endormir pour garder sa place à l’avant. Après 4’ la première attaque fuse ; bien placé je saute sur l’occasion et à froid ça pique un peu… et ça gaspille une cartouche pour rien ! On se dirige alors sur la montée des Bachasses : au train souvent avec Remi ça termine l’échauffement avant une trentaine de km sans réelle difficulté. 2 gars en profitent pour prendre un peu de champ et l’allure n’est pas folle jusqu’à Sully où la course va vraiment commencer.
En effet, après 46km voilà 3 difficultés qui s’enchainent et dès le pied de la 1ere (le col du Navois), Vince Mattens imprime un tempo d’enfer : souvent proche des 6w/kg il n’y a pas d’autre chose à faire que de suivre (pour ceux qui peuvent…) et on reprend le duo de tête. A Corlay on reprend la route de l’an dernier et la connaissance des lieux me donne des repères : passé en 4-5eme position au sommet je suis vigilent sur la descente piégeuse qui suit et très vite nous voilà à Mancey pour le Col des Chèvres : même topo, Vince aux manettes et ça finit d’exploser. Je fais le compte au sommet plus que 9 et Nicolas ne relâche pas la pression sur la descente : tant mieux ! Rapidement en bas il reste à aller chercher le col de Brançion ; j’assure le tempo avant que notre ami belge reprenne le manche, un peu moins fort cette fois. Je relance au sommet pour la descente mais en bas 3 hommes rentrent ; nous voilà 12 mais les écarts restent faibles !
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      L’entente n’est pas bonne dans ce groupe ; on passe la Croix Léonard et le col de Beaufer : parfois ça tente d’accélérer avec Vince et Maxim Pirard et je suis vigilant… un peu moins quelques instants après où Vince, Maxim et Matthias Deroose se font la malle entre belges ; je m’en aperçois et peste sur cette situation (ça se fait plus sur une cassure que sur une franche attaque). Nicolas sentant le bon coup met une violente attaque que tout le monde admire et nous voilà 8 bien piégés comme il faut ! Avec 4 costauds comme ça devant la messe est dite d’autant qu’on n’est 3 à rouler alors je pousse une petite gueulante et par miracle ça marche ! Tout le monde s’y met et on avance enfin, peut-être pas assez pour revenir devant mais au moins suffisamment pour éviter de se faire reprendre. Il en va ainsi jusqu’au pied du col de la Pistolle.
Après 83km voilà une des côtes les plus dures du jour : 4,5km qui peuvent faire mal ! Je lance bon tempo l’ascension avec Alex et très vite Louison Faure qui accélère franchement : collé à sa roue je ne fais pas le malin et m’accroche tant bien que mal : Alex est là aussi et c’est tout ; on est en train de s’isoler ce qui me booste un peu pour relayer au sommet et tout de suite l’entente parfaite se met en place mais il reste 45km avec des écarts loin d’être définitifs. D’ailleurs si on ne se préoccupe pas trop des 4 hommes à l’avant on pense surtout à ceux de derrière et on ne va pas chômer, Louison se montrant impressionnant sur ses relais.  Il y a peu de difficulté si ce n’est quelques talus et vent de face jusqu’au km113 et Lugny où on attaque le triptyque final : avec aux alentours d’une minute d’avance on aborde la 1ere bosse à 6.3% autour des 5w/kg avec Alex qui fait l’essentiel. Ça devient compliqué et pas le temps de souffler qu’on reprend une bosse de 1,2km à 4% : ça passe juste me concernant et je donne un relais dans la descente qui suit ne pouvant en faire plus : km122 voilà la dernière difficulté : la montée de Burgy par la route du belvédère : je me place en tête mais très vite Alex reprend le manche : Louison semble bien alors que je commence à coincé ayant pourtant passé le plus dur : Alex ne relâche pas l’effort (il ne faut pas de toutes façons) et je dois mon salut à un petit replat qui me permet de recoller : attentif dans la descente, ça passe sans encombre mais derrière ça revient de plus en plus près. Sentant le danger Louison passe un relais très appuyé qui me surprend : 3-4 mètres de retard… fini… mais non je ne lâche pas l’affaire et envoi tout ce qu’il me reste pour recoller ou exploser : finalement ça passe et je retrouve le draft (ça change de zwift où tu ne combles jamais le petit trou !). A Fleurville il reste 3 km plutôt faut plat montant et tout juste 10-15’’ et je ne peux rien faire d’autre que tenter de suivre mes 2 camarades sans oser regarder derrière : le dernier talus arrive, Louison dégaine et je parviens à tenir la roue d’Alex : un dernier regard en arrière et c’est avec soulagement que je coupe cette ligne avec une belle 7eme place (1er de caté) en gardant 4’’ sur le premier des poursuivants : ouf !
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       4’ plus tôt Maxin s���était imposé devant Vince et Matthias, Nicolas prenant la 4eme place à 13’’. Voilà une course bien menée avec une seule erreur (suivre l’attaque du tout début ne servait à rien). Sinon pas grand-chose à regretter même si j’aurai aimé être dans les roues des Belges quand ils sont partis mais ça m’aurait coûté très cher plus loin je pense ! La fin fut compliquée mais avec des valeurs en watts très proches de mes records entre 2h et 2h30 et au-delà de 3h10 cela s’explique et indique que la forme était au rendez-vous-même si je n’ai jamais eu l’impression d’être dans une grande journée. La fin de course fut irrespirable et à fort suspens jusqu’aux derniers mètres !
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              Classement
Sur la page : https://lvorganisation.com/cyclosudbourgogne2023/
ou sur ce lien
Strava
https://www.strava.com/activities/8942278220
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omagazineparis · 2 years ago
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De la route à la maison : conseils pour aménager un van et voyager confortablement
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Aménager un van est une tendance populaire pour ceux qui cherchent à explorer le monde tout en étant indépendants. Que vous souhaitiez vivre dans un van à temps plein ou simplement partir en week-end pour des aventures, c'est une bonne solution. Cela vous offre une grande liberté associée à une mobilité sans pareil. Cependant, il peut être difficile de déterminer par où commencer une telle entreprise. Vous devez vous poser plusieurs questions pour bien aménager votre van selon vos besoins, votre budget et l'espace dont vous disposez. Découvrez quelques conseils qui vous aideront à facilement atteindre votre objectif. Planifiez l'endroit où vous installerez chaque équipement de votre van Lorsque vous aménagez un van, il est important de planifier soigneusement l'emplacement de chaque équipement. Le but est de maximiser l'espace disponible et de rendre l'intérieur du véhicule fonctionnel et confortable. Déterminez vos besoins Avant de commencer à planifier l'aménagement de votre van, il est judicieux de déterminer vos besoins en termes d'espace de vie. Vous devez penser à différents éléments comme le rangement, la cuisine et la salle de bain. Cela vous aidera à choisir les équipements et à les placer dans le véhicule de façon efficace. Placez les équipements stratégiquement Les équipements les plus lourds et les plus volumineux tels que le lit et les rangements doivent être placés en premier. De cette manière, vous procédez en quelque sorte par ordre de priorité. Ensuite, vous pouvez placer les équipements plus légers tels que la cuisine et la salle de bain. Utilisez l'espace vertical Lorsque vous aménagez un van, l'espace vertical est à ne pas négliger. Pensez à installer des étagères, des crochets et des paniers pour optimiser l'espace de rangement disponible et garder vos affaires organisées. Assurez-vous que les équipements sont accessibles Assurez-vous, lors de la planification, que les équipements sont accessibles et faciles à utiliser. Par exemple, la cuisine doit être située près de la porte coulissante pour un accès rapide. En ce qui concerne les rangements, ils doivent être simples à atteindre depuis le lit. Décidez des éléments nécessaires tels que la literie, une kitchenette, etc. Durant l'étape de planification, vous aurez à prendre en compte vos besoins. Cette étape vous permettra de déterminer les équipements nécessaires dans votre van. Même si les exigences sont personnelles, certains éléments de base ne doivent pas vous manquer. La literie La literie est l'un des éléments les plus importants pour créer un espace de vie confortable dans votre van. Nous vous recommandons d'y inclure un matelas en mousse. En effet, l'avantage d'avoir un matelas en mousse sur mesure pour son van aménagé est d'avoir la possibilité de profiter de nuits de sommeil confortables pendant toute la durée du séjour. Une telle installation vous sera bénéfique de bien des manières. Avec un tel matelas, vous pouvez choisir la densité de la mousse, l'épaisseur et la fermeté pour un confort personnalisé. Ensuite, vous faites un bon usage de l'espace disponible dans votre van en optant pour un accessoire à la bonne taille. Par ailleurs, les matelas en mousse sur mesure sont fabriqués à partir de matériaux de haute qualité. Ils sont donc durables et résistants à l'usure. Ils peuvent supporter une utilisation quotidienne intensive tout en ayant une durée de vie supérieure à celle des matelas standards. Enfin, les matelas en mousse sur mesure peuvent être facilement rangés dans votre van lorsqu'ils ne sont pas utilisés. Il est possible de les enrouler ou de les plier pour libérer de l'espace supplémentaire dans votre véhicule. En dehors de cette option, vous pouvez opter pour un lit permanent, un canapé convertible ou même un lit de plateforme surélevé. La kitchenette Si vous prévoyez de cuisiner dans votre van, une kitchenette est essentielle. Il s'agit d'un petit espace de cuisine. Vous pouvez opter pour une kitchenette complète avec un évier, un réfrigérateur, une cuisinière et un four. Une autre solution sera de vous tourner simplement vers une plaque de cuisson portable et un petit réfrigérateur. Dans ce cas, vous aurez le minimum. Votre choix dépendra de la taille de votre van et de votre budget. La salle de bain Avec un van suffisamment large, vous pouvez envisager d'installer une salle de bain. Dans ce cas, optez pour une salle de bain complète avec une douche, un lavabo et des toilettes. Pour avoir le strict nécessaire, un cabinet de toilettes portable ou une douche extérieure fera l'affaire. Les rangements Le rangement est essentiel pour garder votre espace de vie organisé et fonctionnel dans le van. Pensez à vous tourner vers des rangements intégrés tels que des armoires et des étagères. Il y a aussi les rangements portables tels que les paniers et les boîtes qui vous seront d'une grande utilité. L'énergie Si vous prévoyez d'utiliser des équipements électriques dans votre van, vous aurez besoin d'une source d'énergie. Vous aurez le choix entre les panneaux solaires, une batterie auxiliaire et un générateur. Pensez à l'isolation pour réguler la température du van L'isolation est un élément crucial à considérer lors de l'aménagement d'un van. Lorsqu'elle est idéale, elle vous aide à maintenir une température confortable à l'intérieur du véhicule, quelles que soient les conditions extérieures. Une isolation adéquate régule la température à l'intérieur du van en empêchant l'air chaud ou l'air frais de s'échapper selon les saisons. Cela réduit la quantité d'énergie nécessaire pour chauffer ou refroidir votre espace. Par conséquent, vous économisez de l'argent sur votre consommation d'énergie. Les matériaux isolants couramment utilisés pour les vans aménagés sont la laine de roche, la laine de verre, le polyuréthane expansé et le polystyrène expansé. Ils peuvent être mis en place sur toutes les parois du véhicule. Il suffira d'utiliser des panneaux préfabriqués ou d'appliquer une couche d'isolant sur les surfaces intérieures. Il est également important de veiller à ce que les joints soient correctement scellés pour éviter les infiltrations d'air et les ponts thermiques. Ces derniers sont à la base des pertes de chaleur ou de fraîcheur. Les fenêtres et les portes de votre van doivent aussi être bien isolées pour réduire les pertes d'air. Investissez dans des matériaux de qualité pour garantir la sécurité et la durabilité Investir dans des matériaux de qualité est essentiel pour garantir la sécurité et la durabilité de votre van aménagé. Les matériaux de qualité peuvent être plus coûteux à l'achat, mais ils offrent de nombreux avantages à long terme. Premièrement, ils sont assurément plus durables. Vous n'aurez pas à craindre de les remplacer rapidement et de devoir passer par une autre installation. C'est cet aspect qui les rend économiques sur le long terme. Deuxièmement, des matériaux de qualité seront résistants à différentes agressions. Ils seront plus simples à entretenir. Pour finir, ils seront plus appropriés pour votre sécurité, car conformes aux normes. Ne manquez pas : Guide pratique pour planifier vos vacances d’été inoubliables au Portugal Ajoutez des touches personnelles dans votre fourgon aménagé L'aménagement d'un van peut être une expérience amusante et créative. C'est l'occasion de donner libre cours à votre imagination et d'ajouter des touches personnelles à votre véhicule. Elles le rendront unique et plus accueillant. Il existe de nombreuses façons de personnaliser votre van durant l'aménagement. Vous pouvez par exemple le faire en choisissant des couleurs, des tissus et des textures qui reflètent votre style pour l'intérieur. Ajoutez des accessoires tels que des coussins, des rideaux, des tapis et des œuvres d'art. La personnalisation peut aussi être guidée par vos centres d'intérêt. Par exemple, si vous êtes un passionné de musique, vous pouvez installer un système audio haut de gamme. Si vous aimez le sport, n'hésitez pas à mettre en place des supports pour votre équipement et vos accessoires. Les possibilités sont multiples. L'essentiel est que vous vous sentiez parfaitement à votre aise dans votre van aménagé. Même si le processus d'aménagement dans sa globalité demande du temps, il est très gratifiant d'arriver à son terme. Avancez à votre rythme pour que l'expérience soit plaisante. Read the full article
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leslistesdantoine · 2 years ago
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2022 – Films
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On a eu droit à une superbe année cinéma, chargée de grosses sorties que tout le monde a vu (comme M3GAN, The Batman, Don’t Worry Darling), mais aussi de plus petits films qui ont fait beaucoup de bruit (Everything Everywhere All at Once, Drive my Car, Aftersun).
À cause de la pandémie, 2022 a récolté beaucoup de films qui devaient sortir bien avant, amenant le compteur à 13,937 films. IMDB compte 12,586 films pour 2021, 10,536 pour 2020 et 12,561 pour 2019. Pour ma part, j’ai pu enfin retourner voir tous les films que je voulais sur grand écran, totalisant plus de 75 films, dont plus de la moitié que j’ai vu en salles.
J’en profite pour vous rappeler d’encourager les films plus petits qui vous intéressent en allant les voir en salle, surtout lors de leur premier week-end de diffusion. Pour ce qui est des nouveaux venus, on a le Cinéma Public qui offre une programmation riche et diversifiée dans un local sympathique de la Casa d’Italia, tout près du métro Jean-Talon. À Québec, Le Circuit Beaumont vient tout juste d’ouvrir ses portes dans les locaux d’Antitube et j’ai déjà très hâte de les visiter.
Sur ce, bonne lecture et bon cinéma!
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10 ★ The Banshees of Inisherin – Martin McDonagh
Scénario: Martin McDonagh 114 minutes – Irlande, Royaume-Uni, États-Unis – Disponible sur Disney+ ou en location
On commence ce palmarès avec le film qui possède l’un des meilleurs scénarios de l’année et qui, on le souhaite, rafle au moins ce prix à la prochaine édition des Oscars, le 12 mars. On peut dire que la thématique de la rupture amoureuse a été mainte et mainte fois explorée au cinéma, mais par contre beaucoup moins souvent, la rupture amicale. C’est en fait le point de départ du film: Pádraic (attachant Colin Farrell) se rend comme d’habitude chez son ami Colm (excellent Brendan Gleeson) pour le chercher afin qu’ils aient boire une pinte au pub. Il cogne à la porte, pas de réponse. Il cogne à la fenêtre, Colm est bien là, mais ne répond pas. On apprendra dans les minutes qui suivent que Colm n’a plus envie de passer du temps avec Pádraic. Colm est vieillissant et a envie de se concentrer sur sa pratique du violon et non plus à discuter de tout et rien et ce, à chaque soir. Un vrai jeu du chat et de la souris s’en suivra où Pádraic fera tout en son pouvoir pour regagner Colm. Rempli de dialogues drôles et délicieux, The Banshees of Inisherin est un touchant (et un peu tordu) film sur l’amitié entre hommes. À voir, ne serait-ce que pour Jenny ❤️.
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09 ★ Bones and All – Luca Guadagnino
Scénario: David Kajganich, Camille DeAngelis 131 minutes – Italie, États-Unis – Disponible en location
Maren (Taylor Russell) n’est pas comme les autres. Elle vient d’avoir 18 ans et son père en a assez d’elle et de ses problèmes, il part en pleine nuit. Abandonnée et presque seule au monde, elle partira donc à la recherche de sa mère biologique. Ah, j’ai oublié de vous dire: elle est cannibale. De bus en bus, d’état en état, elle traversera une bonne partie des États-Unis, de la Virginie au Minnesota. Elle croisera sur le chemin d’autres comme elle: l’étrange Sully (Mark Rylance) et l’irrésistible Lee (Timothée Chalamet) dont elle tombera follement amoureuse. Pour ce nouveau film, Luca Guadagnino s’est entouré d’une nouvelle équipe de collaborateurs; photographie par Arseni Khachaturan qui capture somptueusement les paysages arides sur pellicule et montage exquis par Marco Costa, tous deux dans la trentaine. On se demande d’ailleurs pourquoi ceux-ci ne sont pas en nomination pour leur travail respectif aux Oscars, tellement ils y excellent. Le roadtrip de l’année.
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08 ★ Saloum – Jean Luc Herbulot
Scénario: Jean Luc Herbulot et Pamela Diop 84 minutes – Sénégal – Disponible sur Shudder
L’an dernier, à peu près à mi-parcours pendant le «Festival du nouveau cinéma», on parlait beaucoup de The Power of the Dog, et avec raison. Mais pendant ce temps, dans le circuit plus sombre de la section Temps ø, on parlait aussi d’un tout autre type de Western – ou plutôt un Southern, comme s’amuse à le dire son réalisateur franco-congolais Jean Luc Herbulot. Lorsque trois mercenaires fuyant le coup d’État de 2003 en Guinée-Bissau en avion font un arrêt d’urgence dans l’ouest du Sénégal, ils sont loin de se douter de ce qui les attend dans la mystérieuse région du Sine-Saloum. Le long-métrage, presque entièrement autofinancé, commence comme un simple film d’action, mais bifurque et s’emmêle dans plusieurs genres cinématographiques, ne cessant de se réinventer et de nous surprendre à chaque nouveau plan. Les épatantes images de Gregory Corandi font de Saloum un festin visuel, complémentant à perfection la mise en scène stylisée rappellant à la fois la bande dessinée et les jeux vidéo. Guidés par un amour pur du cinéma, le réalisateur Jean Luc Herbulot et la scénariste Pamela Diop ont voulu faire rayonner le cinéma africain par le film de genre – sans aucune concession – et selon mon humble avis, il n’y a pas l’ombre d’un doute que le pari est réussi.
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07 ★ Falcon Lake – Charlotte Le Bon
Scénario: François Choquet, Charlotte Le Bon et Bastien Vives 100 minutes – France, Canada – Disponible en VOD dès le 5 avril
Vous souvenez-vous des étés de votre enfance passés à jouer dehors, où l’on faisait tout et rien. On partait un week-end en chalet, et on y rencontrait les enfants des amis de nos parents. On s’inventait des mondes, des scénarios, des jeux, des défis, des peurs. C’est dans cet idyllique contexte que Joseph, jeune homme réservé rencontre Chloé, plus vieille et plus assurée. Malgré leur différence d’âge, ils deviendront rapidement proches, car Chloé prendra Joseph sous son aile pendant ses quelques jours, le faisant passer prématurément dans le monde des jeunes adultes. Falcon Lake est un magnifique et doux film sur le passage à la vie adulte, teinté d’une bouleversante histoire de fantôme. Il est rafraîchissant de voir un portrait si réaliste de ce cruel moment charnière, mais rempli d’autant de tendresse. On a qu’à penser à la fameuse scène se déroulant dans la salle de bain, où la honte ne se pointe même pas le bout du nez. Ce superbe premier film de Charlotte Le Bon, tourné dans les Laurentides, regorge de magnifiques images captées sur 16 mm par Kristof Brandl (connu surtout pour son travail en vidéoclip). À la manière de ces longues journées d’été, le récit se développe lentement, nous laissant le temps pour s’attacher à ses personnages et à leurs familles respectives. Les dialogues, épars, mais si réalistes qu’on peut facilement y transposer nos propres discussions de famille, nous transportent inévitablement dans un attendrissant espace de nostalgie. Même si la proposition osée de la finale n’a pas convaincu tout le monde, elle reste à mon avis l’une des plus belles scènes du film, entre tristesse et réconfort, comme la brise chaude estivale qui viendrait caresser notre joue.
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06 ★ X – Ti West
Scénario: Ti West 105 minutes – États-Unis, Canada – Disponible sur Prime, sur Crave et en location
À en voir le résumé, X est un classique film d’horreur pour adolescents: en 1979, un groupe de jeunes cinéastes et acteurs se rendent dans un chalet isolé au coeur du Texas rural pour y filmer un film porno. Reprenant les codes typiques associés à ce genre de cinéma, mais en les renversant pour nous surprendre, Ti West réussi à faire un film qui se démarque du lot. Sans surprise, les propriétaires de la cabane sont un couple de personnes âgées suspects et menaçants, mais au fil du récit, on finit par s’attacher à eux. Le couple qui vieillit, la relation au corps et la sexualité des aînés sont des thèmes explorés dans X et on se surprend à être ému par un film qui, dans la scène précédente, n’avait pas peur de verser dans l’hémoglobine. À voir, pour toutes ses raisons et pour la magistrale performance de Mia Goth dans le(s) rôle(s) principal(aux). Pour ceux que ça intéresse, le prequel Pearl (que je n’ai toujours pas vu) est aussi disponible en location, et la suite, MaXXXine sortira en salles plus tard cette année.
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05 ★ عنکبوت مقدس (Holy Spider) – Ali Abbasi
Scénario: Ali Abbasi, Afshin Kamran Bahrami et Jonas Wagner 116 minutes – Danemark, Allemagne, France, Suède, Jordanie, Italie – Disponible en VOD dès le 23 février
Ville de Mashhad, Iran. Un tueur en série, Saeed (troublant Mehdi Bajestani) est en quête de «nettoyer» la ville de ses prostituées depuis 6 mois. L’enquête ne bouge pas, la police n’a aucun indice. La journaliste Arezoo Rahimi (inoubliable Zar Amir Ebrahimi) débarque de Téhéran pour y faire sa propre enquête. Vous l’aurez deviné, ce film n’est pas pour tout le monde. C’est un film brutal qui met en pleine face ce que d’autres voudraient bien taire. Inspiré d’un fait réel, Ali Abbasi frappe fort avec ce film-choc. Il écorche sans épargner ni son gouvernement, ni la police pour leur horrible inaction, nous faisant évidemment comprendre que ces sordides meurtres font peut-être finalement leur affaire.
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04 ★ EO – Jerzy Skolimowski
Scénario: Jerzy Skolimowski et Ewa Piaskowska 88 minutes – Pologne, Italie – Bientôt disponible en location
Cette année, Andrea Arnold nous a raconté le quotidien d’une vache laitière dans son émouvant documentaire Cow. Il y a aussi le vétéran du cinéma polonais, Jerzy Skolimowski, 84 ans, qui a décidé de nous raconter la vie d’un âne prénommé EO – en mode fiction – et librement inspirée du classique Au hasard Balthazar (1966) de Bresson. Le film est divisé en plusieurs tableaux, chacun présentant un nouveau «propriétaire» du sensible animal. Entre ceux-ci, EO profite parfois de quelques jours de liberté, avant d’être rattrapé par le cruel monde des humains. Tous différents dans la forme, ces tableaux ne sont bien sûr pas tous égaux, mais si l’un des chapitres nous plaît moins, le prochain n’est qu’à quelques lieux de là. Le film comporte aussi quelques impressionnants intermèdes oniriques, baignés d’une lumière rouge, qui donnent à l’oeuvre un caractère presque apocalyptique. Il est impossible de ne pas tomber en affection pour ce doux âne à la fourrure zébrée, surtout lors des close-up sur ses yeux d’où l’on comprend toute l’étendue de ses émotions. À la fois tendre, drôle et attristant, EO est le rappel que les animaux ne sont pas qu’une commodité.
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03 ★ Memoria – Apichatpong Weerasethakul
Scénario: Apichatpong Weerasethakul 136 minutes – Colombie, Thaïlande, France, Allemagne, Mexique, Qatar, Royaume-Uni, Chine, États-Unis, Suisse – Disponible nulle part...
BANG! Quel est donc ce bruit empêchant Jessica (Tilda Swinton, toujours excellente) de dormir? D’abord, le bruit la réveille pendant la nuit. Ensuite, elle se met à l’entendre en plein jour. Elle finira donc par se rendre compte qu’elle est la seule à l’entendre. S’en suivra une suite de recherches afin de trouver l’origine de ce mystérieux bruit, passant d’un personnage mystérieux à un autre, que ce soit un ingénieur de son au prénom d’Hernán ou d’un pêcheur qui ne rêve jamais, qui se prénomme lui aussi… Hernán. Apichatpong Weerasethakul est le maître du cinéma de rêve, c’est-à-dire que ses films sont volontairement hypnotisant et parfois même endormants, mais tout cela est bien normal – voire même encouragé. Lorsqu’il filme un personnage en train de tomber endormi, et cela en temps réel, il est difficile de résister à l’état de transe. Son cinéma est donc inévitablement enveloppé d’une aura de mystère, ce qui fait que les discussions qui suivent un visionnement d’un film d’Apichatpong sont toujours des plus fascinantes et réjouissantes. Une expérience hors du commun. Bonne nuit.
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02 ★ Nope – Jordan Peele
Scénario: Jordan Peele 130 minutes – États-Unis, Canada, Japon – En location
Si Get Out avait bel et bien fait parti de mes films préférés de 2017, il n’en était pas le cas pour Us, sorti en 2019, que j’avais trouvé nettement moins réussi. Mes attentes étaient donc modérées, malgré que la bande-annonce avait tout pour me plaire. Le soir où je suis finalement allé voir Ben non (la traduction de l’année?), je suis sorti de la salle emballé, conquis et excité. J’étais absolument certain que je venais de voir l’un des meilleurs films de l’année. Jordan Peele livre un film de suspense en mode blockbuster et tout y est: les vedettes (Daniel Kaluuya, Keke Palmer et Steven Yeun y sont tous remarquables), le divertissement satisfaisant et grandiose (mais non pas sans intelligence), et bien sûr l’humour qui côtoie la critique sociale. Nope, c’est aussi un film grisant sur le cinéma et son histoire passée et future, c’est un pamphlet sur l’importance de la pellicule, c’est une réflexion sur la peur de l’inconnu et de l’autre, c’est une interrogation sur la place des animaux dans l’industrie du divertissement, c’est un émouvant portrait sur la famille et son patrimoine, mais c’est surtout une sacrée bonne vue.
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01 ★ We’re All Going to the World’s Fair – Jane Schoenbrun
Scénario: Jane Schoenbrun 86 minutes – États-Unis – En location
Janvier 2021, Film Twitter s’enflamme. Tout le monde parle de We're All Going to the World's Fair, le tout premier long-métrage de Jane Schoenbrun qui vient d’être projeté à Sundance. Je découvre l’affiche du film. Elle est magnifique, glauque et mystérieuse. Il ne m’en fallait pas plus pour vouloir le voir à tout prix, mais il fallu attendre jusqu’en avril 2022 pour qu’il soit projeté sur grand écran à Montréal (eh oui, j’ai loupé les projections à Fantasia). Casey est solitaire, elle ne parle à son père qu’à travers sa porte de chambre, enfermée au grenier. Elle a peu d’ami.e.s et la plupart sont des amis virtuels. Elle tombe sur un jeu-défi d’horreur en ligne qui demande de se filmer en récitant 3 fois «We're All Going to the World's Fair» (qui se souvient de «Bloody Mary»?) et de se piquer le doigt pour étendre un peu de sang sur son écran d’ordinateur. Semblerait-il qu’on se serait plus la même personne après avoir réalisé le défi, et donc Casey, décide de documenter son expérience, sa transition. Plusieurs ont comparé l’expérience de Casey (qui aborde un prénom plutôt non genré) à quelqu’un qui serait pleine dysphorie de genre. Cette lentille nous porte à voir le film d’une toute autre manière et le rend plus émouvant qu’on ne pourrait le croire et rarement a-t-on vu un film aussi singulier et captivant qui représente parfaitement l’état d’esprit du doomscrolling ou le fait de se perdre dans les méandres de YouTube. Un talent à suivre de près.
Mentions spéciales
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The Northman – Robert Eggers Au son du tambour qui imite le rythme des cœurs, est née cette épopée, sanglante et sale, vengeresse, viscérale et volcanique où un homme est prêt à tout pour venger son père. Robert Eggers nous prouve une fois de plus qu’il est l’un des réalisateurs les plus intéressants du moment en nous présentant un film d’action ambitieux et épique. Heureusement, il le fait sans renoncer à son esthétique arthouse habituelle qui nous a tant conquis dans The VVitch et The Lighthouse. Alexander Skarsgård qui se bat nu au centre d’un volcan en éruption, c’est oui!
Große Freiheit (Great Freedom) – Sebastian Meise Une histoire d’amour douce-amère qui unit deux personnes qui ont tout pour se détester. Dans l'Allemagne d'après-guerre, Hans se retrouve en prison, car l’homosexualité est désormais criminalisée. Il en sortira plusieurs fois, mais ne voulant pas s’empêcher de vivre sa vie comme il l’entend, y retournera à maintes reprises. C’est derrière les barreaux qu’il fera la rencontre de Viktor, Leo et Oskar, et qu’il y trouvera tendresse, violence, réconfort, peine et amour.
Lux Æterna – Gaspar Noé La maison Saint Laurent a donné carte blanche au maître du chaos Gaspar Noé pour faire un film mettant en vedette leurs pièces. Il en résulte un récit de 51 minutes, chaotique et étouffant – voire presque insoutenable – à propos du tournage d’un film de sorcières qui vire au cauchemar. Béatrice Dalle et Charlotte Gainsbourg sont évidemment brillantes et on se délecte de leurs croustillantes anecdotes de tournages racontées au tout début du film, qu’elles soient inventées ou véridiques. Attention, spectateurs photosensibles s’abstenir.
The Tragedy of Macbeth – Joel Coen Grâce à l’une des meilleures directions artistiques (Jason T. Clark et Christina Ann Wilson) et direction photo (Bruno Delbonnel) de l’année, Joel Coen a réussi le pari d’adapter pour la 21e fois ce classique littéraire, en nous faisant oublier les versions précédentes. Denzel Washington et Frances McDormand, respectivement en Macbeth et Lady Macbeth semblent taillés pour leur rôle et Kathryn Hunter est désormais inoubliable en tant que sorcière(s).
The Eternal Daughter – Joanna Hogg Il fait nuit, un taxi traverse le brouillard. Un manoir se dresse à l’horizon. Tilda mère et Tilda-fille sont en compagnie de leur chien Louis. Le passé et le présent s’apprêtent à converger dans cette superbe histoire de fantômes, de deuil et de souvenirs. Spooky!
5 grandes déceptions
Bigbug – Jean-Pierre Jeunet
Avec amour et acharnement et Stars at Noon – Claire Denis
After Blue (Paradis Sale) – Bertrand Mandico
Emily the Criminal – John Patton Ford
The Black Phone – Scott Derrickson
5 séries marquantes
Euphoria (saison 2)
Severance
The Bear
The Staircase
Irma Vep
D’autres bons coups
Très belle journée – Patrice Laliberté
Crimes of the Future – David Cronenberg
Everything Everywhere All At Once – Dan Kwan et Daniel Scheinert
Resurrection – Andrew Semans
헤어질 결심 Heojil kyolshim (Decision to Leave) – Park Chan-wook
Men – Alex Garland
جاده خاکی Jaddeh Khaki (Hit the Road) – Panah Panahi
Triangle of Sadness – Ruben Östlund
Tár – Todd Field
The Menu – Mark Mylod
– Note: Certains films datant de 2021 peuvent se retrouver dans cette liste, car ils ont bénéficié d’une sortie officielle en salles ou en ligne au Québec qu’en 2022.
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kinderprincess · 8 years ago
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marie-swriting · 2 years ago
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Être Mon Petit Ami - Chrissy Cunningham
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Stranger Things Masterlist
Résumé : Tu es la meilleure amie de Chrissy donc tu l'aides dans ses problèmes de couple avec Jason, même si tu le béguin pour elle.
Warnings : Un peu d'angst, Jason est un connard, fin mignonne, dites-moi si j'ai loupé d'autres warnings !
Nombre de mots : 2.5k
Version anglaise
Chanson qui m'a inspiré : Boyfriend par Dove Cameron
Le bruit de la soirée de Jason devient moins fort alors que tu montes à l’étage. Tu commences à chercher la pièce où tu as posé ta veste en arrivant. Alors que tu marches dans le couloir, tu entends quelqu’un renifler d’une chambre. Inquiète qu’une personne ait peut-être besoin d’aide, tu frappes à la porte.
- Hey, tout va bien ?
Tu n’entends pas de réponse donc tu ouvres la porte doucement et trouve ta meilleure amie Chrissy, assise sur le sol, essuyant ses larmes.
- Chrissy ? Qu’est-ce qui ne va pas ?
- Rien. Ne t’inquiète. Va t’amuser, essaye-t-elle de sourire, mais tu ne l’écoutes pas.
Après avoir fermé la porte, tu vas t’asseoir à côté de Chrissy.
- Allez, dis-moi ce qui ne va pas.
Pour simple réponse, elle fixe ses pieds et tu comprends ce qui la chagrine.
- C’est Jason, n’est-ce pas ?
- C’est si évident ?
- Eh bien, tu sais que je ne l’aime pas vraiment et dernièrement, vous avez eu quelques désaccords, comme tu me l’as dit.
- J’ai essayé de lui parler, comme tu me l’as conseillé, elle commence à expliquer. Je lui ai dit que j’en avais marre de le voir passer tout son temps avec ses amis et pas moi, sa petite amie. Il m’a juste dit que j’exagérais, que j’essayais de le faire passer pour le méchant alors qu’il fait de son mieux, te dit Chrissy, mais elle s’arrête en voyant ton expression sur ton visage. Tu peux le dire.
- Quoi ?
- Que c’est un connard. Je sais que tu veux le dire.
- Tu peux m’en vouloir ? Ça en est un ! Il n’essaye même pas de t’écouter.
- En fait, il m’a promis qu’on passerait cette soirée et le week-end ensemble.
- Et pourtant, il n’est pas avec toi.
A ta phrase, Chrissy hoche tristement avant de regarder ses pieds à nouveau. Tu te sens mal pour ta meilleure amie. Tu détestes la voir être traitée de cette façon par Jason Carver. Il a la chance de sortir avec Chrissy, ouvertement, et il la prend pour acquise.
Tu sais que tu ne pourras jamais être avec Chrissy, même si ton béguin pour elle grandit de jour en jour depuis l’école primaire. Elle n’a jamais montré un intérêt pour les filles et elle a un petit ami. Donc, tu restes sa meilleure amie. Si ça veut dire toujours faire partie de sa vie, tu es d’accord.  Peu importe à quel point ça te brise le cœur. Tu veux ce qu’il y a de mieux pour Chrissy donc tu l’aides dans ses relations. Celle-ci avec Jason est celle que tu détestes le plus. Tu sais qu’il ne la mérite pas, mais elle décide de rester avec lui, espérant qu’il devienne meilleur.
Chrissy renifle un peu avant de reprendre la parole :
- Tu sais, je commence à penser qu’il a raison. Enfin, il a le droit de s’amuser avec ses amis, n’est-ce pas ? J’exagère, je ne devrais pas en faire toute une histoire. On a un peu dansé plus tôt. C’est juste que j’aimerais qu’on passe plus de temps ensemble, tu sais. Mais peut-être que je ruine tout.
- Chrissy Cunningham, tu vas m’écouter attentivement, tu commences en la forçant à te regarder. Tu ne ruines rien. Il est en tort. Il agit comme un connard. Tu as le droit de demander de passer du temps avec ton petit ami. Avec ce que tu me dis, je comprends qu’il ne fait pas grand-chose pour faire fonctionner la relation. Tu fais toujours des efforts. Lui, jamais.
Tu prends sa main et elle fait un petit sourire. Tu souris aussi sympathiquement.
- Chrissy, je suis désolée que ta relation avec Jason se passe ainsi, mais tu dois faire quelque chose. Tu peux clairement pas rester dans cette situation. Il te laisse toujours tombée. Il y a tellement de choses qu’il fait qui ne sont pas suffisantes. J’ai toujours su qu’il était une mauvaise personne, donc je ne suis même pas surprise qu’il ne soit pas un bon petit ami. Tout le monde pourrait être un meilleur petit ami que lui. Même moi.
- Toi ? rigole-t-elle, cachant sa bouche avec sa main et tu commences à paniquer en réalisant tes propos.
- Je veux dire, ça ne serait pas si dur, ajoutes-tu avant d’éclaircir ta gorge. Mais clairement, il y a un gars, quelque part, qui pourrait être meilleur que lui. Je suis sûre qu’il y a quelqu’un, quelque part, qui t’aimera totalement, quelqu’un qui prendra le temps pour toi, quelqu’un qui fera tout pour toi.
- Peut-être, répond Chrissy, perdue dans ses pensées. C’est juste… Jason et moi, ça fait six mois qu’on est ensemble. Je ne veux pas que cette relation ait été pour rien.
- Chrissy, est-ce que tu l’aimes ? lui demandes-tu.
Tu as peur de sa réponse. Tu sais que tu vas peut-être avoir ton cœur brisé, encore plus qu’avant.
- Peut-être ?... Je pense ?... Je ne sais pas. Il peut être gentil, parfois. Et j’ai le béguin pour lui depuis un bout de temps. Quand on passe du temps ensemble, j’aime ça.
- Ça ne veut pas nécessairement dire que tu l’aimes.
- Je sais… Qu’est-ce que tu penses que je devrais faire ?
- Tu devrais prendre du temps pour réfléchir. Viens, allons chez moi, lui dis-tu en te levant et donnant ta main pour l’aider. Il est probablement trop occupé avec les autres sportifs de toute façon.
- Tu as raison, conclut-elle en prenant ta main et se levant.
Pendant une seconde, vous restez là, à vous regarder dans les yeux.  Tu essuies sa dernière larme avec ta main de libre avant de la guider hors de la chambre.
Quand toi et Chrissy avez récupéré vos affaires, vous retournez en bas. Vous êtes sur le point de quitter la maison quand tu entends la voix de Jason appeler Chrissy, complètement bourré.
- Tu vas où, bébé ? On est censés passer le week-end ensemble, tu te rappelles ? C’est ce que tu voulais.
- Je… Jason, j’ai besoin de temps pour réfléchir. Je vais chez Y/N. Je te parlerai la semaine prochaine.
- Tu n’es pas sérieuse, Chrissy ? Tu pars vraiment ? Oh mon Dieu, tu vas encore chialer parce qu’on passe jamais de temps ensemble. Allez, reste, dit-il en se saisissant de son poignet.
- Laisse-moi tranquille, Jason ! Je veux juste du temps seule pour réfléchir sur nous, réplique-t-elle en sortant de son emprise.
Elle met son bras dans le tien et vous quittez la soirée. Jason est complètement perdu par rapport à ce qu’il vient de se passer.
Comme tu n’as pas bu, tu conduis jusqu’à chez toi. Chrissy reste silencieuse durant le trajet. Tu ne dis rien pour attirer son attention, sachant qu’elle perdue dans ses pensées, pensant à votre conversation et à son interaction avec Jason.
Quand vous arrivez, vous allez directement dans votre chambre, tentant de ne pas faire de bruit pour ne pas réveiller tes parents. Quand vous êtes installées sur le lit, tu regardes Chrissy alors qu’elle reste mutique, les yeux posés sur toi également. Tu attends qu’elle parle en premier.
- Tu as raison. Jason n’est pas un bon petit ami, mais j’ai des sentiments pour lui.
- A quel point tes sentiments sont forts ? lui demandes-tu, essayant de ne pas montrer ta peine.
- Je ne sais pas. Peut-être que j’ai besoin d’un peu plus de temps pour développer mes sentiments. Après tout, je suis censée l’aimer, non ? C’est ce que les gens attendent de moi.
- Ça n’a rien à voir avec ce que les gens attendent de toi, mais avec ce que toi tu veux vraiment. Donc, dis-moi, qu’est-ce que tu veux dans un petit ami ?
- Je veux que mon petit ami soit gentil, quelqu’un qui m’écoute, qui me fasse rire, même quand je suis triste. Je veux quelqu’un avec qui je peux parler facilement. Quelqu’un avec qui je pourrais totalement me sentir à l’aise, avoue-t-elle doucement.
Elle garde ses yeux sur toi, admirant leur beauté.
- Je crois que je viens juste de te décrire, peut-être que tu devrais être mon petit ami, ajoute-t-elle, tentant de retenir son rire.
Tu fais tout pour ne pas montrer d’émotion, prétendant que tu ne viens pas d’entendre la fille que tu aimes dire que tu serais son petit ami parfait.
- Eh bien au moins, je pourrais faire tout ce que Jason est incapable de faire, réponds-tu, un air détaché.
- Ça serait pas bien compliqué, dit Chrissy avant de bailler. Je suis fatiguée. Je devrais dormir. Merci, pour tout. Tu es la meilleure, murmure-t-elle avant d’embrasser ta joue.
Même si c’est quelque chose qu’elle fait tous les jours, tu ne peux pas t’empêcher de sentir des papillons dans ton ventre. Chrissy a aucune idée du pouvoir qu’elle a sur toi. Tu aimerais pourvoir le lui dire. Tu aimerais pouvoir lui dire que tu serais prête à lui montrer comment elle devrait être aimée.
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Depuis la soirée de Jason, Chrissy est devenue distante avec toi. Tu ignores la raison, mais tu penses que c’est à cause de ta conversation avec elle. Tu as peur qu’elle ait compris tes réels sentiments pour elle et qu’elle est paniquée. En lui donnant des conseils, tu ne voulais pas être aussi ambigüe, mais ça a été le cas et maintenant, tu es en train de perdre ta meilleure amie.
Tu détestes ça. Tu ne veux pas la perdre. Tu veux arranger les choses. Peut-être qu’en lui parlant, tu pourras donner l’impression que tu agissais seulement comme une bonne amie et non comme si tu venais de confesser ton amour pour elle.
Quand ton cours d’espagnol, cours que tu partages avec Chrissy, est fini, tu ranges vite tes affaires et cours derrière elle. Quand elle t’entend appeler son prénom, elle se retourne. Elle te sourit, attendant que tu la rejoignes.
- Hey, Y/N. Tout va bien ?
- Je voulais te parler. Tu pourrais venir chez moi ce vendredi ? On s’est pas beaucoup vues cette semaine.
- Désolée, j’ai été occupée.
- Donc, c’est bon pour ce vendredi ?
- Je… Je ne peux pas, désolée. J’ai déjà quelque chose de prévu avec Jason.
- Oh. J’imagine que ça veut dire que tu as vraiment des sentiments pour lui.
- On peut dire ça.
- Je suis contente pour toi, Chrissy. J’espère juste qu’il agira mieux envers toi, dis-tu, retenant tes larmes. Je dois y aller, ajoutes-tu avant qu’elle puisse dire autre chose.
Tu commences à marcher rapidement pour quitter le lycée. Une fois sortie, tu trouves un endroit où tu peux laisser tes larmes couler. Tu savais qu’elle tomberait amoureuse de lui un jour. C’était prévisible et pourtant, ça fait quand même mal. Tu as l’impression que ton cœur a été arraché de ta poitrine.
Tu l’as perdue pour toujours. Tu en es sûre maintenant. Elle restera avec Jason alors que tu resteras seule parce que tu as tout ruiné en ne cachant pas tes sentiments comme il faut. Tu peux seulement t’en vouloir pour ton chagrin.
Quand le week-end arrive, tu es contente d’être enfin loin du lycée, même si c’est pour deux jours. Au moins, tu pourras rester enfermée dans ta chambre, à écouter des chansons tristes, souhaitant pour que les choses soient différentes.
Ironiquement, tu caches bien tes sentiments à tes parents ; si seulement tu avais fait pareil avec Chrissy… donc ils ne savent pas que tu t’es endormie en pleurant ces deux derniers jours. Ils pensent que tu vas bien donc ils te laissent seule à la maison pour se rendre à un rendez-vous romantique dans un restaurant chic sans se sentir coupable.
Alors que tu lis un livre sur ton lit, tu entends quelqu’un frapper à ta porte d’entrée. Tu ignores qui ça pourrait être. Tes parents ont leurs clés et si c’était un de tes amis de lycée, ils t’auraient appelée.
Quand tu ouvres ta porte, un air choqué prend place sur ton visage en voyant Chrissy devant toi. Elle semble un peu nerveuse. Tu peux le voir à la façon dont elle joue avec ses doigts.
- Salut, Y/N. J’aurais dû te prévenir, mais j’avais vraiment besoin de te parler.
Tu hoches la tête, la laissant entrer. Tu lui indiques le salon et elle te suit. Assises sur le canapé, tu attends qu’elle explique ce dont elle veut parler, mais seulement l’horloge familiale peut être entendue.
- Je croyais que tu avais un rendez-vous avec Jason ce soir, dis-tu, gagnant son attention.
- Ce n’était pas vraiment un rendez-vous.
- Il est ton petit ami, vous faisiez quelque chose ensemble. C’est un rendez-vous.
- J’ai rompu avec lui, avoue-t-elle, te regardant.
- Quoi ? Tu m’as dit que tu avais réalisé que tu avais des sentiments pour lui.
- J’ai réalisé que j’avais des sentiments, oui. Mais pas pour lui.
- Je suis perdue, Chrissy.
- Y/N, comme tu as dit, Jason n’est pas un bon petit ami. Et peu importe combien j’essaye, il ne changera jamais. J’en ai marre d’être dans une relation où il fait zéro effort et où je ne suis pas amoureuse.
- Je suis toujours paumée. Tu as des sentiments pour qui ?
- Tu te souviens de notre conversation de la semaine passée ?
- Oui, à propos de ça, je suis désolée si…
- Ça m’a fait comprendre quelque chose, t’interrompt-elle. Quand j’ai décrit mon petit ami parfait, ça m’a fait comprendre quelque chose. J’ai toujours su que tu avais une place spéciale dans mon cœur, mais avant la semaine dernière, je ne savais pas à quel point spécial c’était. Tu es la seule personne avec qui je ne joue pas un rôle. Je peux être la vraie moi avec toi et tu as toujours été bienveillante envers moi. Je t’aime beaucoup, Y/N. plus qu’une meilleure amie le devrait. Je sais de quoi ça a l’air et tu me détestes surement, ce que je comprendrais.
- Chrissy.
- Je veux dire, ça sort de nulle part et tu ne me vois surement pas de cette façon.
- Chrissy.
- J’avais juste besoin de le dire, même si je sais que je t’ai perdue.
- Chrissy ! cries-tu, ayant enfin son attention. Peux-tu, s’il te plaît, me laisser dire quelque chose ? lui demandes-tu et elle hoche la tête. Je t’aime beaucoup aussi. Je t’ai toujours beaucoup aimé, même quand je ne savais pas ce que c’était en primaire. Tu ne m’as pas perdue. En fait, je pensais que je t’avais perdue. Mais j’ai des sentiments pour toi, Chrissy.
- Vraiment ? questionne-t-elle, choquée.
Tu te rapproches d’elle et prends sa main alors que tu plonges tes yeux dans les siens.
- Alors, voudrais-tu être mon petit ami ? Ou dans notre cas, ma petite amie ? demande Chrissy.
- Je n’aimerais rien de plus.
Chrissy fait un grand sourire, tout comme toi. Elle se penche, nerveuse avant que tu brises la distance et l’embrasse. Ses lèvres sont douces sur les tiennes. Le baiser est lent et rempli d’amour, l’amour que vous aviez pour l’autre depuis des années, mais que vous n’aviez jamais exprimé avant aujourd’hui. Tu ressens une joie immense quand tu réalises que tu as enfin la chance d’être celle qui sort avec Chrissy Cunningham.
Stranger Things Masterlist
{Ceci est mon blog secondaire donc je répondrai aux commentaires sous le pseudo @marie-sworld}
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pitite-xena · 3 years ago
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Mister BG aka méga crush #18
Il est grand temps que cette saga rattrape le présent voici donc le dernier épisode déjà vécu.
On s'était arrêtés au fait que BG devait remonter sur Paris le samedi et que je devais le rejoindre. Mais dès le mardi (on s'était vus la veille) il commence à me dire qu'il ne se sent pas bien... Mercredi il a de la fièvre et étonnement je commence à en avoir aussi. Vous devinez la suite ? Il n'est pas rentré le samedi car trop malade. Il est resté encore une semaine chez sa grand mère. Puis enfin il remonte. Le timing était assez serré vu qu'il devait arriver sur Paris vers 16h pour son train à 18h mais il vaut mieux peu de temps ensemble que pas du tout.
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Deux jours avant son arrivée, je me fais taper au travail. Accident de travail, arrêt pendant trois semaines. Impossible pour moi de conduire jusqu'à Paris ou de prendre les transports. Je lui demande s'il peut passer me voir avant d'aller prendre son train. Il me promet de faire son possible. Malheureusement c'était trop juste en terme de temps. Il repart donc en Angleterre sans qu'on n'ait pu se revoir.
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Les vacances approchent, je lui propose de venir passer quelques jours chez lui. Je m'attends à me prendre un gros stop et à ma grande surprise il me dit "Oui avec grand plaisir". Je n'en reviens pas je suis trop happy. Mais son comportement est assez étrange, il est plus distant... Et surtout à chaque fois que j'essaye de poser vraiment les choses en parlant de prendre mes billets de train, il met plus d'une journée à répondre. Il fait traîner, traîner, traîner.
Du coup toutes mes interrogations du début reflambent dans ma tête : est ce qu'il est vraiment en Angleterre ou est ce que c'est un gros mytho ? Est ce qu il me dit oui pour être poli ou il a vraiment envie de me voir ? [Je n'ai toujours pas de réponses à ces questions]
Une semaine avant la date prévue de mon départ (je n'avais pas pris mes billets parce que j'attendais qu'il ait l'air plus sûr de lui. J'avais trop peur de me prendre un lapin à Londres) il m'annonce qu'il a le COVID. Et que du coup ce n'est pas prudent que je vienne.
Je ne sais pas si c'était vrai. Je sais qu'il n'est pas allé bosser vu qu'il m'envoyait des photos depuis son lit en plein milieu de la journée. Et qu'il avait bien l'air fatigué. Encore une fois je lui laisse le bénéfice du doute.
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Depuis, on continue à s'écrire tous les jours. Mais il est toujours un peu distant je ne comprends pas pourquoi. Certains jours sont très hot, d'autres très doux et d'autres juste formels. Par contre on parle de choses qu'on aimerait faire ensemble genre un week end au ski ou les studios Harry Potter (Ou braquer une banque et disparaître au soleil)
Il est en France cette semaine. Sauf qu'il est à Toulon 🤦 Il a négocié avec ses chefs de pouvoir passer une soirée à Paris à son retour, on attends la réponse. Donc peut être que je le vois vendredi je ne sais pas. Wait and see.
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Et petit aparté avant de clôturer cet épisode... Un week end ma soeur était à la maison. Elle me dit "Alors t'as un mec en ce moment ?" Et moi hyper mal à l'aise... Parce que c'est pas vraiment le genre de relation dont j'ai envie de parler à ma soeur mais en même temps je veux pas lui mentir. Donc je lui dis que je vois quelqu'un mais que pour l'instant c'est pas vraiment sérieux même si j'aimerais que ça le soit. ÉVIDEMMENT ma mère arrive en trombe "Je veux savoir moi aussi!" Et me voilà donc à parler de Mister BG à ma soeur et ma mère 😅 J'ai *peut-être* omis les épisodes où je l'attends comme une con et qu'il disparaît...
Je leur ai montré des photos. Réaction de ma soeur "Oh il est beau!" Réaction de ma mère "Mais c'est un Kéké" (je crois qu'elles ont raison toutes les deux)
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